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Rugby : objectif phases finales pour les féminines de l'entente Saint-Simon/Aurillac, en Fédérale 2

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La première saison de l’entente entre les féminines de Saint-Simon et du Stade Aurillacois avait laissé un petit goût d’inachevé chez les joueuses. Certes, une deuxième place alors que la grosse majorité de l’effectif découvrait le jeu à quinze était une bonne performance, mais ce n’était tout de même pas suffisant pour goûter aux phases finales de Fédérale 2.

Alors, au moment de débuter ce nouvel acte, toujours en Fédérale 2, en recevant Firminy dimanche 13 octobre (14 heures à La Ponétie), la capitaine est claire : « L’objectif, c’est de faire encore mieux », assure Justine Doneys. Mieux que deuxièmes ? Premières donc ? « Jouer les phases finales, tempère et précise la capitaine. Car, cette année, il faut finir dans les deux premiers pour accéder aux phases finales. »

L'épouvantail Andrézieux

Sur leur route, elles retrouveront l’équipe qui avait écrasé la poule l’an passé, les Ligériennes d’Andrézieux-Bouthéon, et quelques adversaires inédits comme Saint-Genis-Laval ou Vénissieux dans la banlieue lyonnaise.

De leur côté, les Cantaliennes ont connu assez peu de départs, ce qui leur permet de continuer à construire autour d’un effectif stable, renforcé par quelques cadettes du Stade Aurillacois et des Amazones qui vont apporter « de la vitesse », estime Justine Doneys.

« Elles sont juniors et vont affronter des adultes, il va falloir qu’elles passent le cap », prévient toutefois l’entraîneur Matthieu Delterme avant que sa capitaine ne précise, tout sourire : « On a fait des oppositions contre les cadettes, elles ne s’échappaient pas. »

Une préparation sans amicaux

Si la préparation a été longue, et que l’impatience se fait même un peu sentir, les “Blacks Simones” n’ont pas pu se tester avant la reprise. « Les trois matchs amicaux que nous avions prévus ont été annulés », regrettent Justine Doneys et Matthieu Delterme.

Ce premier match s’apparente donc à un test grandeur nature face à Firminy, une équipe que Saint-Simon/Aurillac avait battu deux fois l’an passé.

« Mais, on ne sait pas si elles se sont renforcées ou non, se méfie Matthieu Delterme. Ce sont des bassins de population plus importants et cinq ou six filles en plus, ça peut faire la différence. » Il faudra tout de même que les Cantaliennes restent souveraines à la maison pour espérer gouter aux phases finales.

Mathieu Brosseau

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