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Revue de presse PSG : Ballon d’or, Donnarumma, Chevalier…

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Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce vendredi 8 août 2025. La course au Ballon d’Or lancée, le PSG pousse pour Dembélé, la possible cohabitation Chevalier-Donnarumma, les dessous de l’accord PSG-Lille pour Chevalier…

Dans son édition du jour, L’Equipe évoque la course au Ballon d’Or lancée après la divulgation de la liste des 30 joueurs, dont neuf du PSG, qui peuvent prétendre au plus prestigieux trophée individuel du football. Derrière le PSG, le FC Barcelone a placé quatre joueurs dans les 30. La présence massive de joueurs du PSG et du Barça n’est pas une surprise : ils ont été les deux clubs les plus en vue de la saison avec Liverpool, et c’est certainement dans ses rangs que se trouve le successeur de l’Espagnol Rodri, lance le quotidien sportif. Ousmane Dembélé fait évidemment partie des favoris. « La montée en puissance de l’attaquant du PSG tout au long de la saison a été grandiose, conséquence des énormes progrès qu’il a subitement réalisés devant le but. Ses statistiques (37 buts, 15 passes décisives, toutes compétitions confondues, club et sélection) collent pile poil avec les critères individuels, il est un joueur spectaculaire et souriant, sans casserole, et c’est un atout. Surtout, il est le Parisien qui incarne le plus, aux yeux du monde, la domination de son équipe. Mais rien n’est fait pour l’ancien Rennais, qui risque une dispersion des suffrages à l’intérieur même de son club où deux ou trois de ses partenaires vont faire des voix. » En effet, Hakimi a définitivement gagné ses galons de meilleur arrière droit du monde alors que Vitinha a été le plus régulier dans l’entrejeu des Parisiens. Mais c’est probablement à Barcelone que se trouvent les rivaux les plus dangereux de Dembélé. Huitième du Ballon d’Or l’an passé, à seulement 17 ans, Lamine Yamal est une perle rare, un phénomène de précocité, un joueur prodigieux auquel le Barça doit beaucoup de son immense saison. Son profil de soliste, de dribbleur fou, de joueur de rue qui fait lever les foules, est de ceux dont raffolent les jurés. Et l’homogénéité de ses stats (21 buts et 22 passes) en dit assez du coéquipier et du serviteur qu’il peut être, analyse L’Equipe

Le quotidien sportif évoque aussi le fait que le PSG pousse derrière Ousmane Dembélé pour ce Ballon d’Or. « Le club de la capitale s’est préparé depuis plusieurs semaines à cette course au Ballon d’Or. Longtemps, pour ne pas déroger à sa règle d’un nouveau « projet collectif sans star », le PSG s’est refusé à lancer une campagne de lobbying pour l’un ou l’autre de ses joueurs. Donnant parfois l’impression de prendre du retard dans cette course effrénée. Depuis la finale de la Ligue des champions, le 31 mai, la bascule a été effectuée. Tour à tour, le président Nasser al-Khelaïfi et l’entraîneur Luis Enrique se sont positionnés publiquement en faveur d’Ousmane Dembélé« , indique L’Equipe. Le joueur, lui, s’il a accepté – davantage que d’ordinaire – de s’exposer à l’exercice de l’entretien, est resté fidèle à son positionnement. Celle d’un joueur convaincu que c’est par le terrain et uniquement par ce moyen-là, qu’il gagnerait le Ballon d’Or. Une position pleinement assumée et partagée dans son entourage professionnel. Après la liste publié, et alors que la séquence de vote s’ouvre vendredi, Paris va-t-il poursuivre sa « campagne » en faveur de « Dembouz » ? Dans une certaine mesure, oui. Mais dans une certaine mesure seulement, avance le quotidien sportif. Car au plus haut sommet du club, on a pu mesurer, récemment, les réactions potentielles des autres candidats. À Paris, on précisait d’ailleurs ces dernières heures ne pas vouloir mettre les autres postulants de côté. Comme si on sentait des jalousies potentiellement poindre… C’est dans ce contexte qu’Al-Khelaïfi s’est rendu jeudi au Campus de Poissy (Yvelines). Devant les joueurs, le président du PSG a précisé, loin de sa communication récente, que « tous les joueurs du PSG  méritaient » le Ballon d’Or, conclut L’Equipe.

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Le quotidien sportif évoque aussi la possible cohabitation entre Lucas Chevalier et Gianluigi Donnarumma au PSG cette saison. La Supercoupe d’Europe fixera avec précision, mercredi à Udine, la hiérarchie actuelle. Elle ne fait que peu de doute : Chevalier (23 ans) sera aligné d’entrée contre Tottenham. Mais après ? Gianluigi Donnarumma (26 ans) peut-il rester en attendant que son contrat s’achève, dans un an ? La cohabitation peut-elle initier une période de concurrence ?, se demande L’Equipe. « Il y a quelque chose de constant chez Luis Enrique : jamais, dans ses échanges avec les cibles parisiennes, l’entraîneur du PSG, fidèle à son discours public, ne garantit une place de titulaire à son interlocuteur. Avec Chevalier, Luis Enrique n’a pas dérogé à cette règle. Il a été question de ses qualités, de sa capacité à devenir un gardien de très haut niveau, mais jamais de sa place dans la hiérarchie. » Même constat dans le dialogue récent entre le Lillois et l’entraîneur des gardiens du PSG, Borja Alvarez. Le conseiller sportif Luis Campos s’est lui montré rassurant et lui a assuré un statut de gardien n° 1, assure le quotidien sportif. Ces dernières semaines, après avoir publiquement répété son souhait de rester à Paris, Donnarumma faisait fuiter, via son entourage, qu’il pourrait tout à fait y rester une année de plus, pour aller jusqu’à la fin de son contrat et profiter alors de sa position de force sur le plan contractuel. Une forme de bluff ? Sans doute. Car l’Italien va vouloir jouer. Son entourage travaille sur l’hypothèse d’un départ depuis des mois. Le PSG a, parfois, appris de ses erreurs passées. Dans ses discussions avec ses interlocuteurs, Campos repousse l’idée d’une alternance dans le but cette saison. Paris n’envisage pas une concurrence frontale entre Chevalier et Donnarumma. Si l’Italien désirait aller jusqu’au bout de son contrat, serait-il placardisé à l’image d’un Adrien Rabiot lors de la saison 2018-2019 ?, conclut L’Equipe.

Le quotidien sportif évoque aussi les dessous de l’accord entre le PSG et Lille pour le transfert de Lucas Chevalier. Le PSG ne pouvait plus attendre. Malgré la volonté de ses dirigeants de faire preuve d’une certaine intransigeance dans les négociations avec Lille ces derniers jours, le club de la capitale a fini par rehausser une nouvelle fois son offre – la troisième – pour convaincre le LOSC et faire signer Lucas Chevalier le plus rapidement possible. Jeudi, les Nordistes ont donné leur accord autour d’un transfert de 40 M€, hors bonus. Bonus compris, la transaction se rapproche des 55 M€, certains étant facilement atteignables. Une somme qui va en faire le gardien le plus cher du football français, avance L’Equipe. « Chevalier (23 ans) va maintenant rallier Paris pour passer sa visite médicale et signer un contrat de cinq ans. Luis Enrique, Luis Campos et Nasser al-Khelaïfi ont décidé de ne plus perdre de temps dans ce dossier afin de pouvoir compter sur le gardien mercredi, pour affronter Tottenham lors de la Supercoupe d’Europe. » Lille aussi a décidé de faire un pas vers le PSG dans ce dossier. D’abord inflexible sur la nécessité de trouver un remplaçant avant de laisser partir Chevalier, Olivier Létang a fini par se résoudre à accepter un départ sans avoir fait signer de nouveau gardien. Le président lillois a écouté le souhait de son joueur de rejoindre Paris et n’a pas voulu bloquer le transfert, lance le quotidien sportif. Au PSG s’ouvre désormais une période – la plus courte possible, espère le club – où Chevalier et Gianluigi Donnarumma vont devoir cohabiter. Le Français n’a pas accepté de rejoindre Paris avec le risque de perdre sa place pendant la saison, mais parce que Luis Enrique et Campos lui ont assuré qu’il était le gardien dont ils avaient besoin pour poursuivre la progression collective du groupe. « La Premier League reste l’option la plus plausible pour l’Italien, mais ni les deux Manchester ni Chelsea – tous intéressés – n’ont encore formulé d’offre à Paris. Attendent-ils la fin du mercato, dans l’espoir que Paris subisse la pression de devoir conserver deux gardiens de cette envergure pendant au moins six mois, avec tous les problèmes que cela peut engendrer ? C’est une hypothèse plausible », conclut L’Equipe.

De son côté, Le Parisien évoque aussi la gestion des gardiens du PSG avec la future arrivée de Lucas Chevalier. Ce dernier est ainsi attendu au Campus de Poissy afin de passer la visite médicale préalable à la signature de son contrat. Cohérent pour une partie des observateurs, incompréhensible pour les autres, le recrutement du gardien lillois marque en tout cas le déclassement pur et simple d’un Gigio Donnarumma qui avait traversé la deuxième partie de saison en héraut magistral. Le quotidien francilien se demande pourquoi les dirigeants du PSG ont fait ce choix. « Pas de coup de sang, ni d’opportunité de marché dans l’esprit des deux Luis, Campos et Enrique, dans le dossier Lucas Chevalier. C’est plutôt le sens de l’histoire, de la progression et du chemin sur lequel ces deux-là entendent mener leurs troupes qui ont convaincu le tandem, en parfait accord sur le sujet, d’ériger depuis des mois le portier lillois en cible prioritaire. » Au cœur du dernier automne, Luis Enrique avait ainsi regretté, au cours d’une réunion de travail, que dans cette équipe qu’il a polie avec minutie, le poste de gardien soit le seul qu’il n’ait pas eu l’occasion de choisir. Et que quitte à pouvoir le faire, il aurait, au-delà des qualités intrinsèques nécessaires pour occuper ce poste dans la capitale, souhaité un portier agile balle au pied, capable de jouer haut et suffisamment flexible pour faire sien le projet de jeu commun. Un profil qui, Luis Campos le sait pour lui avoir fait signer son premier contrat pro à Lille, correspond à celui de Chevalier, avance Le Parisien. « Auréolé du titre de meilleur gardien d’Europe à son arrivée en 2021, alors promis, malgré la présence de Keylor Navas, à incarner l’avenir dans la cage parisienne, Gianluigi Donnarumma aura, comme ses prédécesseurs, donc échoué à incarner la stabilité sur le très long terme. Automatiquement déclassé aux yeux de dirigeants qui n’entendent pas cheminer cette saison avec deux gardiens n° 1, le Transalpin devra faire un choix. Aller aux termes du contrat qui le lie au PSG jusqu’en juillet 2026 en position de doublure ou choisir de rebondir ailleurs avant le 1er septembre 20 heures, date de clôture du mercato d’été. » Impossible d’affirmer que de remplacer Donnarumma par Chevalier n’est pas un risque, tant Paris sait ce qu’il perd mais pas encore ce qu’il gagne ! Moins expérimenté que Gigio Donnarumma, Lucas Chevalier aura tout à prouver avec Paris et sans doute peu de temps pour le faire puisque Luis Enrique, qui souhaitait son arrivée pour la reprise, pourrait avoir dans l’idée de le faire débuter dès la semaine prochaine devant Tottenham. Pas de quoi effrayer Paris qui a depuis longtemps identifié l’état d’esprit du Lillois comme une force et le pense en mesure de relever le défi, conclut le quotidien francilien. 












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