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Revue de presse PSG : Fabian Ruiz, Inter Milan, Mbappé…

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Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce mardi 27 mai 2025. Fabian Ruiz, un leader plus par l’exemple que par la voix, l’Inter sur les nerfs avant d’affronter le PSG, comment le PSG s’est réinventé sans Mbappé…

Dans son édition du jour, L’Equipe fait un focus sur Fabian Ruiz. « Il a été longtemps une ombre presque encombrante. Un joueur dont le nom était conspué par les virages du Parc des Princes. Fabian Ruiz, au fil de prestations souvent étincelantes cette saison, a accompli l’une des « remontada » populaires récentes les plus spectaculaires », lance le quotidien sportif. Ce dernier indique qu’autour du numéro 8 du PSG, il flotte encore une drôle d’impression. Comme si il « restait invariablement un personnage secondaire derrière les Ousmane Dembélé, Bradley Barcola, Marquinhos ou Khvicha Kvaratskhelia… Comme si derrière ce visage de gendre idéal et ce sourire timide, on ne parvenait pas à percevoir ni mesurer précisément son rôle, hors terrain, dans cette épopée 2024-2025. » Sociable quand il connaît, l’Espagnol est plus méfiant face à l’inconnu. Homme de peu de mots, il n’est pas du genre à haranguer sur le terrain ou dans le vestiaire. Ruiz replace, oriente et peut, ponctuellement, sur certains ajustements tactiques, être un relais de Luis Enrique mais aussi de Rafel Pol, dont il est proche, indique L’Equipe. Fabian Ruiz est un parfait représentant du joueur qu’aime Luis Enrique, avance le quotidien sportif. « Professionnel, exigeant, investi. Un élément au copieux palmarès que les plus jeunes regardent. À la différence d’un Achraf Hakimi, en quête depuis l’été dernier de responsabilités, le natif de Los Palacios ne revendique rien en matière de leadership. » Fabian Ruiz, connecté avec différentes sensibilités du vestiaire, entend, sur son niveau, donner l’exemple aux autres. 

L’Equipe évoque également l’adversaire du PSG en finale de la Ligue des champions, l’Inter Milan, qui serait sur les nerfs avant d’affronter le club de la capitale. Lors du media Day, Simone Inzaghi a pu compter sur un groupe au complet. Physiquement, l’Inter est prêt, assure le quotidien sportif. « C’est la bonne nouvelle pour Inzaghi qui essaye de se concentrer à 100 % sur l’échéance de samedi. Même si les supputations sur son avenir – avec l’offre très élevée des Saoudiens d’Al-Hilal (50 M€ pour deux saisons) – parasitent l’approche de la finale. » Quelques heures plus tard, à une trentaine de kilomètres de là, devant le siège de l’Inter, les ultras protestaient par centaines contre la gestion de la vente des billets dont ils ont été exclus. L’ambiance n’était donc pas des plus sereines, lundi, autour de l’Inter, lance L’Equipe

De son côté, Le Parisien évoque le PSG 2024-2025 et se demande comment il s’est réinventé après le départ de Kylian Mbappé. « Le PSG a connu le même problème avec Kylian Mbappé qu’avec Zlatan Ibrahimovic : quand on possède de telles stars, les équipes doivent jouer pour elles. Tous les circuits de passe et la finalité de la progression du bloc conduisent à servir dans les meilleures conditions LE buteur. Chaque fois que ça n’a pas marché, la vedette en prenait pour son grade, le Suédois puis le champion du monde 2018 étant régulièrement désignés comme les responsables des fiascos européens successifs », avance le quotidien francilien. Le départ du capitaine des Bleus a eu le mérite de responsabiliser ceux qui sont restés. Afin d’y parvenir, Luis Enrique a travaillé en interne et en externe, avec sa fameuse déclaration de début de saison, pour les convaincre que plusieurs pouvaient faire mieux qu’un. « Si quelqu’un marque 40 buts, on ne lui fermera certainement pas les portes, avait expliqué à la veille de l’ouverture du championnat l’Asturien. Mais si je m’appuie sur mon expérience, il vaut mieux avoir quatre joueurs qui marquent 12 buts. Ça fera 48 buts et c’est mieux que 40. » Avant la finale de la Ligue des champions, le PSG a marqué 147 buts cette saison avec quatre joueurs avec au moins 13 buts : Ousmane Dembélé, 33 réalisations ;Bradley Barcola, 21 ; Gonçalo Ramos, 18 ; Désiré Doué, 13. Les deux premiers cités ont pris la place laissée par Kylian Mbappé mais ont surtout progressé de manière spectaculaire, souligne Le Parisien. « La principale réussite de Luis Enrique reste d’avoir mis fin à une dépendance quelconque, à la fois par un travail psychologique et un savoir tactique. » Autre point, les attaquants n’hésitent pas à se replier défensivement, ce que faisait très peu Mbappé. Ce principe explique pourquoi il voulait absolument recruter Khvicha Kvaratskhelia, énorme travailleur sur son côté, pourquoi il adore Dembélé, chef du pressing, ou encore salue Barcola et Doué parce qu’ils ont su digérer ces consignes en un temps record, conclut Le Parisien

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