Xabi Alonso au Real Madrid, premier contact !
Le contrat actuel d’Ancelotti avec Madrid court jusqu’à la fin de la saison 2025/26, mais l’échec en Ligue des champions pourrait entraîner son licenciement ce mois-ci.
Le président du club, Florentino Perez, évaluera ses options dans les prochaines semaines avant une réunion cruciale avec Ancelotti. Deux matchs clés contre Barcelone, dont une finale de Coupe du Roi, pourraient l’inciter à privilégier la constance sur le banc des Blancos, mais Alonso attend dans les coulisses.
L’Italien a toujours affirmé que son avenir serait décidé par le club, alors que les rumeurs de départ se multiplient. Alonso est le choix numéro un de Perez pour remplacer Ancelotti, l’ancien entraîneur de Liverpool, Jürgen Klopp, ayant pris ses distances avec le poste.
Le contrat actuel d’Alonso au Bayer Leverkusen est similaire à celui d’Ancelotti à Madrid, l’ancien milieu de terrain ayant également mis fin à son contrat avec la BayArena en 2026. Alors que la défense du titre de Bundesliga de Leverkusen continue de vaciller, de nouvelles rumeurs circulent selon lesquelles Alonso pourrait rompre ses liens pour ne pas manquer sa chance à Madrid.
Leverkusen devra résister à la pression
Il est peu probable qu’Alonso rejoigne le Real Madrid avant la fin de la saison de Bundesliga – et le Real Madrid devra payer une indemnité pour rompre son contrat à Leverkusen – le PDG du club, Fernando Carro, ayant récemment admis que les victoires d’Arsenal contre le Real Madrid le rendaient nerveux.
Dans le cadre d’une situation qui évolue rapidement, Alonso semble prendre des initiatives, son conseiller principal, Iñaki Ibanez, ayant repris contact avec le Real Madrid, selon Sky Sports – via Diario AS. Il ne s’agit que de discussions préliminaires, sans aucune communication officielle du Real Madrid à Leverkusen indiquant qu’une offre de rachat de contrat lui sera faite en juin.
Leverkusen est confiant de pouvoir résister à la pression, la possibilité d’un transfert d’Alonso à Madrid en 2026 restant ouverte, ce qui permettrait au coach de 43 ans de tenir la promesse faite à ses actuels employeurs.