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Revue de presse PSG : Liverpool, Donnarumma, Kvaratskhelia…

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Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce mardi 11 mars 2025. Le match contre Liverpool, comment Luis Enrique a boosté la confiance du vestiaire, Khvicha Kvaratskhelia et son jeu fait de dribbles, pour Donnarumma, c’est le moment ou jamais…

Dans son édition du jour, L’Equipe fait sa Une sur le huitième de finale retour de la Ligue des champions entre le PSG et Liverpool. « C’est à une légende, à une force et à une culture que le PSG va s’attaquer mardi soir, du haut de sa jeunesse et de ses rêves, dans un temple où les clubs français n’ont pas inscrit un seul but, dans un match à élimination directe, depuis quarante-huit ans », avance le quotidien sportif. Luis Enrique a installé une force durable, dans le pressing, le contre-pressing, le mouvement perpétuel, avec cette capacité rare à être créatif à la fois dans le jeu placé et dans la transition, lance L’Equipe. « Liverpool va mieux sortir le ballon, mieux le récupérer, mais le PSG sait exactement ce qu’il aura à faire de mieux, ou à faire tout court : marquer quand l’occasion naîtra, faire mal à la tête de son adversaire, instiller le poison du doute au cœur même du combat. Il faudra être grand et probablement avoir grandi encore d’une semaine sur l’autre, mais ce n’est sûrement pas un soir à envisager des limites, seulement un soir à les bousculer, ou à les faire voler en éclats. » Paris a investi (énormément) sur un projet totalement différent, porté par Luis Enrique, et c’est aussi ce qui rendrait une élimination aussi cruelle : le PSG n’est pas loin d’être prêt avec un peu d’avance, pas loin d’entrer dans le printemps dans une atmosphère d’épopée, plutôt que de se rendre à une actualité nationale déjà écrite, avec une avance en Ligue 1 irrattrapable et une Coupe de France qui lui tend les bras, mais qu’il abandonnerait volontiers contre un tour de grand huit en Ligue des champions, lance L’Equipe. « La plus belle compétition de clubs au monde, un adversaire mythique, un jardin magique, et la possibilité d’un exploit dont on parlerait longtemps : tout est là, tout se mêle, le décor, le danger, l’espoir. Vivement ce mardi soir. »

Le quotidien sportif évoque aussi la préparation de ce huitième de finale retour et comment Luis Enrique a convaincu son équipe que la qualification du PSG à Anfield était possible. « Entre débriefing vidéo tactique jeudi, puis discours collectifs et individuels les jours suivants, l’ancien sélectionneur de la Roja s’est surtout attelé à répéter à ses joueurs qu’ils étaient capables de tout. Il a même, pour l’une des rares fois cette saison, parlé à son groupe dans le vestiaire après le revers initial au Parc des Princes, comme pour lancer une séquence où la croyance doit être placée au milieu de tout. » Le reste n’a été qu’habitude et routine. Rien d’autre n’a été modifié en profondeur pour venir défier les Reds. Et rien ne devrait l’être dans les prochaines heures. Depuis le début de la saison en Ligue des champions, le technicien n’est pas du genre à multiplier les changements dans son onze de départ, avance L’Equipe. La solidité de son équipe lors du match aller ne devrait pas compliquer davantage la tâche de l’entraîneur du Paris Saint-Germain. Sous Luis Enrique, il est difficile de prédire quoi que ce soit (les joueurs, sauf exceptions, ne sont au courant de la composition que deux heures avant le match et une pression énorme leur est mise pour que rien ne soit communiqué à l’extérieur), mais Kvaratskhelia semble partir avec une longueur d’avance », conclut le quotidien sportif. 

L’Equipe fait également un focus sur Khvicha Kvaratskhelia et son style de jeu avec des dribbles et des gestes techniques. Sur le terrain, il a une élégance, quelque chose de de presque suranné et d’esthétique dans la technique en mouvement, analyse le quotidien sportif. L’international géorgien « ne va pas user de gestes techniques élaborés. Pas ou peu de râteaux, de passements de jambes ou de sombreros. » Les matches contre Brest ou Liverpool ont laissé apparaître une autre caractéristique du jeu de Khvicha Kvaratskhelia, sa frappe de loin. « C’est une technique de frappes que je vois très peu. C’est beau. Il la prend quasiment cou-de-pied, mais il arrive à l’enrouler pour lui donner de l’effet. Ça lui donne encore plus de puissance. Sur ce que j’ai vu, il n’est pas encore le Khvicha que je connais. Mais quand il le sera, il en surprendra plus d’un », lance Zambo-Anguissa, son ancien coéquipier à Naples

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De son côté, Le Parisien évoque aussi le huitième de finale retour de la Ligue des champions entre le PSG et Liverpool. Après la manche aller, les joueurs parisiens sont revanchards. « Leur frustration de l’aller peut se transformer en colère au retour, avec volonté de mettre des points sur les i et des buts à Alisson, ce qui serait un bon début pour changer l’histoire. » Le PSG de Luis Enrique est une tornade permanente et possède une façon bien à lui d’appréhender les dernières 90 minutes, avance le quotidien francilien. « Le rapport de force découlera d’abord du bras de fer mental. Il est possible qu’en étalant deux fois le même contenu, les Anglais finissent par céder, au moins fléchir. L’espoir naîtrait alors. » Il est rare dans l’histoire de ce sport qu’une supériorité manifeste n’entraîne pas une qualification sur une double confrontation, lance Le Parisien. « Les Parisiens ont beau être les meilleurs, ils leur restent des défauts, une étourderie collective crépusculaire, ou un gardien pas assez costaud. L’idée consisterait à corriger ça, ensuite. Une fois qu’ils auront démontré qu’ils ne marcheront plus jamais seuls dans cette Ligue des champions, escortés d’un nouveau statut en cas d’immense bonheur », conclut le quotidien francilien. 

Le Parisien évoque aussi les coulisses des six jours entre les deux huitièmes de finale de la Ligue des champions du côté du PSG. « Paris a perdu une bataille, mais pas la guerre et à travers ces quelques mots lâchés par Luis Enrique dans l’intimité du groupe, un sentiment, ou plutôt une conviction, prédomine : celle que le PSG va aller chercher la qualification à Anfield ce mardi soir. » Tout au long de la semaine, Luis Enrique n’a pas dévié de sa ligne de conduite et renvoyé auprès du groupe l’image d’un coach confiant, sûr de ses forces et certain de pouvoir renverser la vapeur malgré un but de retard, avance le quotidien francilien. « Malgré sa force de persuasion, sa capacité à entrer dans les têtes, les mots de Luis Enrique n’ont pas toujours obtenu de blanc-seing auprès du collectif. Après la déroute à Newcastle la saison dernière (1-4) par exemple, rares avaient été ceux à boire ses paroles et à croire, comme il avait tenté de les en convaincre, à une domination sans partage au retour. Cette fois, l’assurance de leur coach, conjuguée à la façon qu’ils ont eue d’étouffer les Reds, a propulsé les membres du vestiaire dans une galaxie où les rêves n’ont pas de limite. Dans les têtes des joueurs, le match contre Manchester City (4-2 le 22 janvier) a été un déclic, celui contre Liverpool en a été un deuxième. Ils ont pris conscience qu’ils pouvaient tenir tête à ce qui se fait de mieux. » Aucune revanche, aucun fiel, pourtant, dans les propos que les Parisiens échangent depuis près d’une semaine à propos des retrouvailles à Anfield. Comme si Paname l’avait emporté de trois longueurs à l’aller, n’avait aucune revanche à prendre, c’est sans la moindre crainte et dopés à l’enthousiasme que nombre de Parisiens ont confié à leurs proches aborder ce deuxième acte. Le secret, peut-être, d’un rendez-vous que chacun espère historique, conclut Le Parisien

Le quotidien francilien évoque aussi Gianluigi Donnarumma, annoncé titulaire ce soir. Pas assez décisif sur le but de Liverpool sur la pelouse du Parc des Princes, l’international italien sait qu’il aura la possibilité d’endosser la panoplie de héros du jours, indique Le Parisien. « Ce n’est en effet qu’au prix d’une partie au minimum impeccable de son gardien que Paris pourra rêver de poursuivre sa route dans la compétition. Ce match à Anfield ressemble au moment idoine pour le gardien du PSG de prouver qu’il peut être le maillon fort d’un sommet. » Ce mardi, l’ombre de Lucas Chevalier, avec qui les dirigeants ont pris langue, planera inévitablement au-dessus de celui qui dit vouloir rester dans la capitale au-delà de son contrat allant jusqu’en 2026, avance Le Parisien. « La question de savoir si Paris irait plus loin en Ligue des champions avec Chevalier, qui progresse de semaine en semaine, peut finir par se poser. Ce test contre Liverpool est vital. Si Paris est éliminé, Gigio va encore traîné ça comme un boulet », analyse Jérôme Alonzo.






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