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Revue de Presse PSG : Kvaratskhelia, attaque…

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Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce lundi 3 mars 2025. L’attaque parisienne performe depuis cinq semaines, l’intégration rapide de Khvicha Kvaratskhelia à son nouvel environnement…

Dans son édition du jour, L’Equipe revient sur l’attaque performante du PSG depuis cinq semaines et cette victoire renversante face à Manchester City (4-2) le 22 janvier dernier en Ligue des champions. Depuis ce jour, le visage offensif du PSG a changé de rythme. Le match face au RB Salzbourg (0-3) début décembre a aussi été un autre tournant de la saison parisienne. Avec la victoire de Lille (4-1) ce samedi, les Rouge & Bleu restent sur une séquence incroyable de 21 buts en quatre matches, soit 5,25 buts par match. Et il y a vraiment eu une bascule entre l’avant et l’après City. « Le changement le plus spectaculaire, entre l’avant (60 buts en 27 matches) et l’après (45 buts en 12 matches) est l’augmentation considérable de la moyenne de buts du PSG, de 2,22 à 3,75. » Et un joueur est au centre de cette évolution : Ousmane Dembélé. Avant le match face aux Citizens, le numéro 10 parisien était à 11 buts et 5 passes décisives et 15 buts et 1 passe décisive depuis cette rencontre charnière.

Bradley Barcola n’a pas non plus à rougir avec ses 17 buts et 11 passes décisives depuis le début de la saison. Mais, un autre joueur profite des miettes pour se mettre en évidence : Gonçalo Ramos. Le Portugais est impliqué dans 15 réalisations (12 buts, 3 passes décisives) avec seulement 9 titularisations depuis son retour de blessure début décembre. Depuis le départ de Kylian Mbappé (44 réalisations la saison passée), le coach parisien voulait trouver plusieurs buteurs capables de prendre le relais. « À ce stade de la saison, Luis Enrique a t-il atteint son objectif ? Si l’on compare le trio Mbappé-Barcola-Dembélé (41), à cet instant de la saison dernière, au duo Dembélé-Barcola (43) cette saison, on dirait que le plan, pour l’heure, a fonctionné », conclut L’E.

De son côté, Le Parisien fait un focus sur Khvicha Kvaratskhelia et son intégration depuis son arrivée à Paris. L’ancien Napolitain n’a pas mis longtemps à trouver ses marques dans cette équipe et ce pays qu’il a découvert à la mi-janvier. Et pourtant, c’était loin d’être évident pour une recrue hivernale, comme l’explique son compatriote, meilleur ami et attaquant de l’AS Saint-Etienne, Zuriko Davitashvili : « C’est sans doute ce qu’il y a de plus de compliqué pour un joueur que d’intégrer une équipe durant le mercato d’hiver. C’est le cas pour tous les joueurs qui arrivent à mi-saison, mais lui en plus de devoir s’adapter à de nouveaux partenaires et de nouvelles méthodes de travail, doit aussi se faire à un nouvel environnement, une nouvelle langue et de nouvelles habitudes. » C’est l’attaquant stéphanois qui a joué le rôle de « conseiller en installation ». Sur la base d’au moins un coup de fil quotidien, parfois même plus que cela, il a donné le maximum de ficelles à son partenaire de sélection pour s’acclimater à son nouvel environnement, précise LP.

Mais la greffe a rapidement pris avec son nouvel environnement. « Kvara » s’est félicité de l’accueil qui lui a été réservé et trouverait même les Français qu’il a croisés plutôt sympathiques et à l’écoute des difficultés d’autrui. Le plus dur pour lui lors des prochains mois sera l’apprentissage de la langue française. Sur le terrain et à l’entraînement, son adaptation va dans le bon sens. L’ailier de 24 ans « diffuse l’impression d’être heureux d’avoir intégré un collectif où les responsabilités et le talent se partagent (…) son hyper exigence et son sens de l’écoute dans les moments clés de la préparation en font sans contestation possible, un élément ‘Enrique-compatible’. » Un profil qui ne l’assure pas d’être titulaire ce mercredi face à Liverpool en huitième de finale aller de Ligue des champions. Mais, l’ancien du Napoli fera tout pour participer à la fête, comme l’explique un membre de son entourage : « Kvara est un tel amoureux du football, a une telle volonté permanente de jouer qu’on n’a pas besoin de le pousser, au contraire, la plus grande difficulté sera parfois de le freiner. »

Youtube : Canal Supporters Paris

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