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Revue de presse PSG : City, Enrique-Guardiola, Hakimi…

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Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce mercredi 22 janvier 2025. L’importance du match contre Manchester City, Achraf Hakimi, nouveau monstre du PSG, l’amitié Enrique-Guardiola…

Dans son édition du jour, L’Equipe fait sa Une sur le choc entre le PSG et Manchester City ce soir en Ligue des champions. Le quotidien sportif explique que l’affiche de la soirée est magnifique, bien plus que le classement des deux nouveaux riches les plus célèbres du football européen, puisque le PSG est 25e de la nouvelle Ligue des champions après six journées, et Manchester City 22e, dans une compétition dont les 24 meilleures équipes continueront à voir du pays. « Il n’est pas réellement nécessaire de résumer les épisodes précédents pour cerner le problème : supérieur à ses adversaires quatre fois sur six en C1, seulement dominé à Arsenal (0-2) et au Bayern (0-1), ce qui reste peu engageant à l’aube de la venue d’un autre grand d’Europe, Paris n’a pas été fichu de prendre les points que sa domination méritait, parce que Kylian Mbappé n’est plus là et que l’idée d’une solution collective se heurte à la réalité des limites individuelles quand la route s’élève », analyse L’Equipe. On est au cœur, ici, du pari du PSG et de son entraîneur, pour cette saison et pour ce mercredi soir. Bien sûr, si Barcola parvenait à doubler son nombre de buts en C1 (1 en 16 rencontres), le dossier avancerait un peu, déjà, mais plus que sa future couronne de champion de France, qui ne fait aucun doute et qui portera une signature collective plus marquée que la saison dernière, c’est vrai, c’est la capacité de Paris à traverser l’hiver européen sans un buteur de niveau européen qui confortera ou sanctionnera cette option à la fois technique et philosophique, lance le quotidien sportif. City n’est pas totalement guéri, sa défense conserve d’infinies largesses, mais Kevin De Bruyne remet un pied devant l’autre et Phil Foden va beaucoup mieux. « L’incertitude de la qualification, la volonté du PSG de faire voler en éclat le reproche de son inefficacité, le retour de City : tout cela promet un beau soir à vivre, qui ressemblerait à la Ligue des champions beaucoup plus qu’à son classement », conclut L’Equipe

Le quotidien sportif fait également un focus sur Achraf Hakimi, sans aucun doute le meilleur joueur du PSG cette saison. « Rarement dans l’histoire du PSG, un latéral droit n’a été aussi influent dans le jeu qu’Achraf Hakimi. En cette saison 2024-2025, le Marocain est l’homme par qui vient le danger. Une influence qui repose notamment sur sa dimension athlétique. » L’international marocain reste un athlète hors norme, souligne L’Equipe. Ce dernier indique que le numéro 2 du PSG affiche une vitesse exceptionnelle. « Depuis le début de cette Ligue des champions, seul Erling Haaland a été flashé plus vite que Hakimi (36,6 km/h contre 36,5,). À ce poste, en Europe, seuls Kyle Walker – avant 2024-2025 – et Jeremie Frimpong (Leverkusen) peuvent sans doute rivaliser en vitesse de pointe. » Cette vitesse de course trouve son origine dans ses cuisses massives, dessinées, et la grande pureté de ses appuis, analyse L’Equipe. « Dans le duel, après sa formation au Real Madrid, Hakimi n’était pas réputé pour sa dureté. Ses passages en Allemagne (Dortmund) mais surtout en Italie (Inter Milan) l’ont transformé. » Un physique musculeux qu’il travaille aux côtés d’un kiné et un préparateur physique personnel à Paris, avance le quotidien sportif. Ce qui saute aux yeux, c’est son volume de courses (10,5 kilomètres de moyenne par match cette saison en C1) mais surtout cette faculté rare à multiplier les sprints à haute intensité, conclut L’Equipe.

De son côté, Le Parisien évoque aussi ce choc crucial pour la suite de la saison européenne du PSG et de Manchester City. Lors de cette rencontre, se trame une qualification quasi assurée pour le vainqueur et la possibilité d’un fiasco pour le battu, lance Dominique Sévérac. « Ainsi, ce Paris-City s’annonce comme un 64e de finale, avant le 32e la semaine prochaine et peut-être enfin le 16e s’ils parviennent à intégrer les 24 premiers au classement. » Dans une nouvelle formule à huit matchs qui consiste à éliminer seulement douze formations sur les 36 engagées, et que deux des trois clubs les plus riches de la Ligue des champions en soient là, sonne comme un bug, lance le quotidien francilien. « Paris-Manchester City trace la bande-annonce d’une superproduction avec deux équipes aux idées de jeu identiques, aux défauts similaires, avec deux entraîneurs plus amis que rivaux, résolument offensifs et perchés, capables de changer un détail qui reconfigure l’ensemble et dimensionne une autre équipe au fond. » Dans un Parc électrique, rempli de stars de NBA et de la fashion week, le suspense, la marche de deux funambules avançant au-dessus de leur propre gouffre mais également la possibilité d’un chef-d’œuvre du jeu rendent la soirée magique et grandiose, un shot d’émotions induit par une montée de fièvre de saison. Ce n’est vraiment pas le moment de gripper la machine ici ou là, conclut Dominique Sévérac.

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Le quotidien francilien évoque aussi l’amitié qui lie Luis Enrique à Pep Guardiola. Une amitié née lors des Jeux Olympiques de Barcelone en 1992, dans l’équipe d’Espagne qui va remporter la médaille d’or. Le Parisien indique que la relation entre l’entraîneur du PSG et celui de Manchester City a atteint son apogée lorsque Luis Enrique a signé au FC Barcelone en 1996. Ils joueront ensemble pendant cinq ans au Barça. Au fil des années, les deux coachs continuent de se fréquenter, avec leurs familles respectives. Une amitié qui résiste aux années, lance le quotidien francilien. Quand Pep Guardiola quitte son poste d’entraîneur au FC Barcelone en 2014, c’est lui qui suggère aux dirigeants barcelonais de se pencher sur Luis Enrique. Depuis, les deux entraîneurs n’ont jamais cessé de s’encenser publiquement. « Ce mercredi soir, au Parc des Princes, il y aura de la tension, des joies, et peut-être des larmes. Mais il y aura aussi des sourires et des accolades », conclut Le Parisien.

L’Equipe évoque aussi le duel Luis Enrique-Pep Guardiola, deux entraîneurs guidés par la même obsession du jeu et du contrôle. De leur passage commun au FC Barcelone, le duo se retrouve surtout autour de la même passion dévorante pour la tactique. Dans le vestiaire, les discussions sont incessantes autour des choix des entraîneurs. À l’époque, Luis Enrique est impressionné par l’attitude de son partenaire, qui analyse tout depuis son poste au milieu et passe ses matches à invectiver, replacer, diriger, avance le quotidien sportif. Les coachs du PSG et de Manchester City se rejoignent sur plusieurs points. « Le désir de tout maîtriser, sur le terrain et autour. Qui peut donner le sentiment à leurs collaborateurs qu’eux seuls sont capables de trouver la solution. Et fait planer sur leur employeur cette menace que, s’ils ne tirent pas toutes les ficelles, ils peuvent claquer la porte. » À côté de ça, les deux hommes cultivent quelques différences notables, lance L’Equipe« Luis est un impulsif, Pep est plus réflexif. Pep analysait beaucoup les choses, il est en perpétuelle recherche, d’où aussi les changements dans son staff au fil du temps. Luis, lui, aime travailler avec un noyau de confiance, très peu de turnover« , souligne Llorens, entraîneur à la Masia entre 1990 et 2006. 






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