PSG : Le numéro 51, son bandage, Luis Enrique … les confessions de Willian Pacho
Lors du dernier mercato estival, le PSG a recruté Willian Pacho. A 23 ans, l’Equatorien s’est engagé jusqu’en juin 2029 de manière inattendue. Sur le site officiel du club de la capitale, le défenseur central s’est confié.
La découverte du football
« Grâce à mon grand frère. Il jouait avec ses amis, et je le regardais jouer. J’ai adoré et j’ai commencé à jouer avec eux. Mes premiers pas dans le football se sont passés dans le quartier où je vivais, et j’ai beaucoup appris de cela. Puis j’ai commencé à regarder les matches de l’équipe nationale, et je n’ai plus jamais lâché le foot ! ».
La première sélection avec l’Equateur
« Très bien ! Je n’avais jamais été sélectionné avant avec les jeunes. Ma première sélection était directement avec l’équipe première. C’était incroyable et je ne m’y attendais pas du tout, et je savais que le plus dur allait commencer, il fallait travailler encore plus dur. Quand j’ai eu la nouvelle, j’étais très heureux, et j’ai tout de suite appelé ma famille pour leur dire ».
Les valeurs de Willian Pacho dans la vie et le football
« Je suis très respectueux, c’est quelque chose que ma mère m’a appris très vite. Je pars du principe que si tu as du respect pour tout le monde, alors tu n’auras que du respect en retour. C’est une valeur familiale ! ».
A qui Willian Pacho a annoncé son transfert au PSG en premier ?
« J’ai appelé beaucoup de monde ! Mais c’est ma sœur que j’ai eu en premier. J’avais déjà le maillot, et je l’ai montré à toute ma famille. C’était un moment incroyable, et tout le monde était très heureux pour moi ! »
Pourquoi le numéro 51 ?
« Parce que c’est le numéro que je portais quand je jouais dans mon premier club. Un numéro avec lequel j’ai connu beaucoup de succès, donc je m’y suis attaché. Et aussi parce que ma mère nous a quittés quand elle avait 51 ans. Alors je porte toujours ce numéro ».
Pourquoi le bandage à la main ?
« Quand je jouais en Belgique, je me suis fracturé la main et j’ai dû porter un plâtre pendant trois mois. Une fois enlevé, j’ai pu rejouer mais en portant un bandage comme celui-là. Et j’ai marqué avec la sélection, contre l’Australie, et depuis, je porte toujours ce bandage quand je joue ! ».
La vie dans le vestiaire du PSG
« Il y a beaucoup de bonnes personnes ! Je m’entends très bien avec tout le monde, et j’aime bien passer du temps avec Achraf, Ousmane, Randal ou encore Marco. Et je m’entends très bien avec les Portugais ! Je sors parfois avec eux en groupe, on passe de bons moments ensemble ».
La victoire au Trophée des Champions
« Beaucoup de joie ! Il ne restait que très peu de temps pour marquer, le match était tendu et nous méritions de nous imposer. Nous avons ressenti beaucoup de bonheur parce que nous travaillons dur pour atteindre ce genre d’objectif, remporter des trophées. Et aussi, je suis le premier équatorien à le gagner ! C’est quelque chose qui me remplit de fierté ! ».
Les meilleurs conseils de Luis Enrique
« Il y en a beaucoup, mais ce ne sont pas que des conseils. Il m’apporte beaucoup de confiance, il sait parler aux gens. J’essaye toujours de donner le maximum et j’écoute tout ce qu’il a à dire. Par exemple, il me fait travailler beaucoup sur mon mauvais pied. Il nous apporte beaucoup de confiance en nous ».
Un entretien à retrouver en intégralité sur le site officiel du Paris Saint-Germain.