Minoterie en tiers-lieu, briqueterie en centrale solaire… Les 215 friches industrielles de Haute-Garonne suscitent de plus en plus l’intérêt des communes
En Haute-Garonne aussi comme ailleurs en France, les friches sont un moyen pour lutter contre la bétonisation des espaces naturels et agricoles. De Toulouse à Juzet-d’Izaut, Loubens ou Revel, leur reconversion s’accélère, portée par des communes ou des acteurs privés. Elles sont le vestige du passé industriel et économique des communes, de l’histoire de certaines familles et font souvent partie du paysage. Elles sont même devenues le terrain de jeu des passionnés d’Urbex. À l’occasion de sa prochaine exposition "La nature des friches", qui commence le 19 septembre, le Conseil d’architecture, d’urbanisme et de...