" 90 personnes par mois jugés pour du trafic de drogue": à Toulouse, les dealers innovent pour le recrutement
À Toulouse, le trafic de stupéfiants s’organise comme une entreprise. Derrière les façades ordinaires, des réseaux internationaux exploitent des profils précaires avec des méthodes redoutablement structurées, jusqu’à briser toute volonté de retrait. "À Toulouse, la performance ne se limite pas au rugby : la ville est aussi tristement célèbre pour ses réseaux de drogue", ironise David Charmatz, le procureur de la République. En Haute-Garonne, plus de 90 personnes comparaissent chaque mois pour leur implication dans le trafic de stupéfiants, « surtout les petites mains », insiste-t-il. À lire...