"Nous sommes pris en otage": face aux dépôts sauvages, une commune décide de mettre la main à la poche

Les amoncellements de sacs-poubelle, au pied des points d’apport volontaire, deviennent ingérables. À Pamiers, la ville a décidé de faire appel à une société privée pour assurer un ramassage supplémentaire. Coût de l’opération : 100 000 € pour quatre mois. "Nous sommes pris en otage. Notre cadre de vie est pris en otage. En tant que maire, et en tant que médecin, les questions de salubrité publique me tiennent à cœur. Nous ne pouvons plus continuer comme ça. D’un côté, la compétence des ordures ménagères nous échappe : elle est déléguée au Smectom. De...