Fédérale 2 : Léo Jacq, ouvreur de Malemort, est tombé dans la marmite rugby dès son plus jeune âge

Léo Jacq est tombé dans la marmite rugby dès son plus âge. Avec son père Denis, ouvreur au CA Brive champion de France de Nationale B en 1987, la voie était toute tracée.

« J’ai commencé le rugby à 7 ans, déjà à Malemort avant de m’essayer au foot pendant trois ans. Et puis la Coupe du monde en 2007 m’a définitivement ramené au rugby », sourit Léo Jacq qui a évolué au CAB jusqu’en équipe Espoirs avant une pige à Limoges pour un retour à Malemort.

« En Espoirs, je n’ai fait qu’une saison. Je jouais peu alors, j'ai préféré ne pas tenter l’impossible. Je voulais simplement jouer au rugby », confie le Malemortois qui évolue, cette saison avec un certain Arno… Jacq sur le terrain, son petit frère.

« C’est vrai que c’est spécial de se retrouver ensemble dans le vestiaire et sur le terrain. C’est excitant, mais aussi un peu inquiétant. J’essaye toujours d’avoir un œil sur lui parce qu’il est, disons… plus sanguin que moi », explose de rire l’ouvreur de Malemort XV, référence au carton rouge reçu par son frangin lors du derby face à Causse Vézère.

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Un derby finalement remporté par l’EVMBO qui lui permet d’être encore en course dans la qualification. À condition de dominer Bourges, ce dimanche.

« Ce sera une finale pour nous, c’est très simple. Si on perd, on dit adieu à la qualification, mais on y croit fort. La victoire sur le Causse a fait du bien aux têtes », explique Léo Jacq qui aura à coup sûr un rôle important à jouer, comme il avait déjà su le faire face au RCV. 

Benjamin Pommier