Zaïre-Emery : « On avait un objectif très clair, venir ici pour gagner »
Au bout du suspense, le PSG s’est offert la Coupe Intercontinentale grâce à un immense Matvey Safonov lors de la séance de tirs de buts (1-1, 2 t.a.b à 1).
Pour son avant-dernier match de l’année 2025, le PSG affrontait Flamengo en finale de la Coupe Intercontinentale. Dans un match qu’il a dominé, le PSG avait réussi à marquer par l’intermédiaire de Khvicha Kvaratskhelia. En seconde période, les Brésiliens vont réussir à égaliser sur un penalty. Alors qu’il a multiplié les occasions, le PSG n’a pas réussi à faire trembler les filets une deuxième fois. Ils ont dû jouer la victoire lors de la séance de tirs au but. Séance dans laquelle Matvey Safonov a brillé avec quatre arrêts. Le PSG inscrit donc son nom au palmarès de la Coupe Intercontinentale et s’offre un sixième titre en 2025 pour encore un plus entrer dans l’histoire. Au micro de BeIN SPORTS 1, Warren Zaïre-Emery est revenu sur cette finale à rallonge.
« On est fiers de nous »
« On rentre dans l’histoire du PSG et du football français ? Ce soir c’était le but, on avait un objectif très clair, venir ici pour gagner. Le coach nous a dit de rien lâcher, de jouer comme d’habitude. Franchement, on est fiers de nous. On a fait un très bon match, une très bonne finale contre une très bonne équipe en face, qui met beaucoup d’intensité. Mais franchement, on est juste fiers de nous. On va continuer comme ça tout au long de la saison. Une équipe qui a des ressources mentales ? Cette équipe a beaucoup de caractère, elle montre que l’on est une équipe, un collectif. Le coach, quand il est arrivé, c’est ce qu’il voulait. Il nous a toujours transmis ça, le collectif avant tout. Aujourd’hui, ça montre la force que l’on a et l’équipe que l’on est. Et c’est ce que l’on voulait. Mon match ? Ça fait du bien de jouer comme ça, d’être comme ça, de mettre beaucoup d’intensité. Je suis content de moi, il faut continuer comme ça. Il y a une marge de progression énorme. Il va falloir continuer tout au long de la saison parce que cela va être compliqué. Ce n’est que le début. La plus grosse partie arrive. »

