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Revue de presse PSG : gestion, Brest, course au titre…

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Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce samedi 25 octobre 2025. Comment Luis Enrique a rendu son équipe imprévisible, le PSG doit passer la vitesse supérieure en Ligue 1, une vraie lutte pour le titre en Ligue 1 cette saison…

Dans son édition du jour, L’Equipe évoque la gestion de son groupe de Luis Enrique et comment il a rendu son PSG imprévisible. Dans un contexte miné par les pépins, le turn-over opéré depuis le début de la saison a, au moins, participé à ajouter une dose d’incertitude chez les adversaires du PSG. Avec une interrogation : la quête du « mieux » peut-elle passer par une imprévisibilité poussée à l’extrême ? En début de saison, Luis Enrique n’avait pas caché sa volonté « de chercher à innover » pour entretenir l’effet de surprise, indique le quotidien sportif. « Il y a eu, depuis, quelques choix audacieux : l’entrée de Nuno Mendes en fin de match au poste de latéral droit face à Strasbourg (3-3, le 17 octobre) ; le replacement du Portugais en tant qu’ailier gauche face à Barcelone en Ligue des champions (2-1, le 1er octobre), l’utilisation de Lucas Hernandez en axial droit après la pause face au Bayer mardi soir, ou encore le repositionnement plus mitigé un cran plus haut d’Achraf Hakimi à Marseille (0-1, le 22 septembre), un soir où Marquinhos évoluait latéral droit. » Utilisé un coup en pointe, un coup latéral droit et un coup au milieu, Mayulu est probablement celui qui incarne le mieux cette polyvalence dont raffole Luis Enrique. Si le PSG a réussi à surmonter aussi bien l’avalanche de blessures du début de saison, c’est aussi parce que ses joueurs sont la plupart interchangeables. Sans que l’identité de l’équipe n’en soit affectée, conclut le quotidien sportif.

L’Equipe évoque aussi le match du PSG contre Brest ce samedi après-midi (17 heures, BeIN Sports 1) et explique que le club de la capitale doit passer la vitesse supérieure en Ligue 1. Factuellement, le PSG n’a remporté qu’une seule de ses quatre dernières rencontres de championnat, rappelle le quotidien sportif. « Son retard sur ses temps de passage de la saison passée s’élève à trois unités (17 points contre 20). En arrière-plan, commence à germer l’hypothèse d’une résistance plus coriace de ses concurrents et d’un chemin plus ardu dans sa quête d’un 14e titre de champion de France. » Jusqu’ici, l’enchaînement des matches a contraint Luis Enrique à faire tourner, avec une infirmerie qui ne s’est que très récemment désemplie. La gestion des temps de jeu sera une nouvelle fois au cœur du bloc de quatre matches concentré en l’espace de onze jours : voyages à Brest, samedi après-midi, puis à Lorient, mercredi, avant les réceptions de Nice (samedi prochain) et du Bayern Munich (le 4 novembre). Pour éteindre pour de bon le débat, le PSG serait bien inspiré de retrouver de la marge en championnat, conclut L’Equipe.

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De son côté, Le Parisien évoque la course au titre en Ligue 1, qui sera peut-être plus serrée qu’à l’accoutumé. « Et si c’était plus qu’une passade, qu’une histoire qui fait battre les cœurs l’espace de quelques semaines avant de retomber comme un soufflé ? Puisque le suspense s’est fait de plus en plus rare ces dernières années, que la domination quasi monopolistique du club de la capitale a posé un mouchoir sur les ambitions et les rêves de gloire de la concurrence, les plus optimistes ne s’interdisent rien à l’orée de cette 9e journée de Ligue 1, surtout pas de rêver à un rééquilibrage des forces. Et si cet OM qui, depuis 2010, doit s’équiper de jumelles pour apercevoir le trophée de champion de France, était enfin armé cette saison pour régater avec son meilleur ennemi ? » Seul leader de Ligue 1, la formation de De Zerbi reste en effet sur 5 succès d’affilée en championnat alors que Paris, son dauphin qui compte une petite longueur de retard, n’a lui glané que cinq points sur les douze derniers mis en jeu. Le plus faible total du top 5 de Ligue 1 sur les quatre dernières journées. Confronté à une cascade d’absents, le champion d’Europe n’a, aussi, empoché qu’un point lors de ses duels avec ceux qui l’encadrent sur le podium, le leader azuréen (défaite 1-0) et des Strasbourgeois troisièmes (3-3), souligne Le Parisien. Quatrième attaque de Ligue 1 avec 16 buts inscrits ― soit 9 de moins que la saison dernière à même époque ― troisième défense du championnat (8 buts concédés en 8 matchs), le « Paris domestique » semble, pour l’heure, à des années-lumière de celui qui dévore tout sur son passage sur la scène européenne. Pas de quoi perturber Luis Enrique qui explique, en conférence de presse, que ce type « d’analyse est toujours fait par rapport aux résultats. » Bruno Germain, qui a porté les deux maillots, ne voit pas Marseille rester devant le PSG. « Comme j’ai un peu le cœur marseillais, j’espère me tromper, mais je ne vois pas l’OM rester devant sur la durée. L’écart sera peut-être moins important que par le passé, mais si Paris récupère ses blessés, comme ça semble arriver, il n’y aura pas photo. Là, tout le monde s’emballe car cela fait des années que Marseille n’a pas été en tête en novembre. L’OM fait un bon début de saison, c’est sûr. Mais c’est un peu tôt pour crier haut et fort que ça va jouer des coudes toute la saison. Il faut faire preuve d’humilité, s’accrocher, avancer masqué et on fera les comptes en fin de saison. » Pour Laurent Leroy, le PSG finira champion cette saison. « Je suis convaincu que Paris terminera en tête en fin de la saison.  En ce moment, Luis Enrique fait beaucoup tourner, et, même avec une équipe remaniée Paris n’est pas ridicule. Et maintenant que presque tout le monde est là, comme à Leverkusen, on voit ce que ça donne. Il ne faut pas s’inquiéter de ce point de retard. Ça met un peu de piment, mais je pense que la concurrence ne pourra pas rivaliser avec le PSG, c’est impossible. »





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