Nouvelles

Revue de presse PSG : Blessures, Mendes, Ballon d’Or…

0 5

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce vendredi 19 septembre 2025. Quels remèdes pour le PSG face aux blessures, Nuno Mendes meilleur latéral gauche du monde, le Ballon d’Or peut-il échapper à Dembélé…

Dans son édition du jour, L’Equipe évoque les nombreuses blessures qui touchent le PSG en ce début de saison et se demande quelle solution peut avoir le club de la capitale face à ça. C’était une menace verbalisée dès la reprise par le staff comme par les joueurs. Entre sa saison dernière à rallonge et un exercice en cours qui le sera autant, le PSG redoutait les blessures, avance le quotidien sportif. « Dans ce contexte à risque, Paris aurait-il dû anticiper et élargir son effectif ? Nasser al-Khelaïfi, Luis Campos et Luis Enrique l’assurent en privé : ils sont satisfaits du mercato réalisé (Chevalier, Zabarnyi, Marin). Les blessures ne semblent pas avoir fait changer d’avis les décideurs parisiens. Ils expliquent avoir voulu conserver une ossature de vingt-trois joueurs semblable à celle de l’année précédente, estimant qu’un groupe trop fourni poserait des problèmes dans le vestiaire. » Le PSG veut donner l’opportunité à ces 23 joueurs de se montrer, indique L’Equipe. « Sur le marché cet été, Paris a laissé filtrer, jusqu’aux derniers moments, que le recrutement d’un élément offensif, voire d’un joueur défensif supplémentaire, était possible. Le PSG n’a simplement pas trouvé son bonheur, préférant ne pas recruter pour recruter, en attendant janvier. » Campos a discuté avec Maghnes Akliouche ces derniers mois pour évoquer une possible arrivée chez les champions d’Europe. Le conseiller sportif de QSI avait exposé au Monégasque certaines conditions – preuve qu’un recrutement était envisageable. Au PSG, personne ne regrette de ne pas avoir forcé l’arrivée de certains joueurs. Pour le moment, tous les pépins restent mesurés avec des absences qui se comptent en jours ou en semaines, pas en mois. Le staff avait prévu d’accorder des plages de repos à tour de rôle au fil de la saison. Cela reste une piste majeure du staff, qui serre les dents en attendant les retours, mais le problème est que ces blessures limitent le turnover et renforcent les risques sur le groupe resserré, lance le quotidien sportif. « Au milieu ou en attaque, il n’y a presque plus de marge. Paris ne peut même pas espérer faire venir un joker médical : cela est possible uniquement en cas de blessure supérieure à trois mois. » En revanche, il a le droit, comme tous les clubs, de recruter un joueur évoluant en L1. Ou de faire signer des éléments sans contrat. Ce n’est pas dans ses intentions à date. Luis Enrique insiste auprès de ses troupes sur la polyvalence et il les a averties de la possibilité de les aligner à des postes qui ne leur sont pas naturels. Il peut aussi piocher chez les titis des moins de 19 et moins de 23 ans, avance L’Equipe. La manière dont se sont blessés Dembélé, Doué et Neves, sur des gestes qu’ils ont l’habitude de répéter, a été la traduction d’une fatigue globale. Il aurait fallu, pour se régénérer vraiment, mettre à profit la prochaine trêve internationale. Problème : la grande majorité des Parisiens seront en sélection. La force du PSG, pour l’instant, réside dans sa capacité à interchanger les joueurs sans que la performance collective n’en soit affectée. Aux seconds couteaux de la deuxième partie de saison dernière – Warren Zaïre-Emery, Lee Kang-in, Gonçalo Ramos, Mayulu et Ibrahim Mbaye – de continuer à assurer la transition, conclut le quotidien sportif.

De son côté, Le Parisien fait un focus sur Nuno Mendes. Le latéral gauche du PSG est très certainement le meilleur latéral gauche du monde. Face à l’Atalanta Bergame, il a ouvert la campagne de la Ligue des champions du PSG sur une masterclass, de celles qui l’avaient vu gagner l’admiration de l’Europe entière lors du dernier exercice ainsi qu’une place parmi les 30 nommés au prestigieux Ballon d’Or, lance le quotidien francilien. « À 23 ans, l’international portugais semble cocher toutes les cases du latéral idéal. Un moment pointé du doigt pour ses carences défensives, le Parisien est désormais à mille lieues de celui qui, il y a un an et demi, avait été humilié par les dribbles à répétition de Jadon Sancho en demi-finale aller de Ligue des champions face à Dortmund. » Lui, que l’Anglais avait alors mis dans sa poche, a même inversé la tendance de façon assez spectaculaire lors de l’exercice 2024-2025. De l’étoile de Liverpool Mohamed Salah, au Gunner Bukayo Saka en Ligue des champions, en passant par l’Espagnol Lamine Yamal en Ligue des nations ou encore le Madrilène Vinicius à la Coupe du monde des clubs, tous les ailiers stars (ou presque) de la planète foot ont ainsi été muselés par le Portugais, souligne Le Parisien. « Si besoin en était, sa prestation face à l’Atalanta, a de nouveau donné l’occasion au natif de Sintra de mettre un coup de projecteur sur les qualités, notamment offensives, qui complètent sa panoplie de gaucher adroit. » Le numéro 25 du PSG est non seulement capable de répéter les matchs de haut niveau mais, puisque son jeu se nourrit aussi de cela, de multiplier les efforts à haute, voire très haute intensité, avance le quotidien francilien. À l’instar d’Achraf Hakimi, Mendes est increvable. Si par le passé, son explosivité et sa puissance lui ont joué des tours sur le plan musculaire, notamment au niveau d’ischios qui l’ont souvent mis sur le flanc entre 2022 et 2024, cela n’est aujourd’hui plus qu’un mauvais souvenir. Alors que le Portugais a, lors de ses trois premières saisons dans la capitale, passé plus de 55 matchs à l’infirmerie, lors du dernier exercice, il n’en a manqué que deux en raison de pépins physiques, conclut Le Parisien

A voir aussi : Habib Beye vote Ousmane Dembélé pour le Ballon d’or 2025

canalsupporters.com

Le quotidien francilien évoque aussi le Ballon d’Or et se demande si ce dernier peut échapper à Ousmane Dembélé. Dans le camp du numéro 10 du PSG Ballon d’Or, Le Parisien, via son journaliste Dominique Sévérac, indique que c’est quand il a commencé à enchaîner les buts que le décor a changé. La métamorphose vient de lui et son repositionnement au poste de faux numéro 9 par Luis Enrique, assure le quotidien francilien. « Au-delà de ses buts, ses pressings acharnés en finale de la Ligue des champions ont détruit la défense de l’Inter Milan et permis ensuite aux Parisiens d’installer leur jeu. » Dans le camp des gens qui pensent qu’il peut ne pas être le lauréat de ce Ballon d’Or 2025, incarné par le journaliste Harold Marchetti, on explique que même si Dembélé a réalisé la meilleure saison de sa carrière, le Ballon d’Or dans l’imagerie populaire, c’est une empreinte laissé à chaque match, la certitude qu’en se rendant au stade, on ira voir le maître du jeu, le joueur pour qui les foules se lèvent et que l’histoire retient. Or, aussi brillant soit-il, Dembélé n’a pas encore franchi ce seuil, indique Le Parisien. Le Ballon d’Or ne récompense pas seulement le talent, mais la constance, la domination, l’autorité sur le jeu et les époques. Ousmane Dembélé en a les armes mais pas encore pleinement la stature. Qu’il confirme dans la durée, qu’il prenne à bras-le-corps ce rôle de patron qu’on lui destine, et alors, seulement, il s’invitera à la table des génies du jeu, conclut Le Parisien



Source

Comments

Комментарии для сайта Cackle
Загрузка...

More news:

Read on Sportsweek.org:

Autres sports

Sponsored