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Le PSG inflige une leçon au Real et file en finale !

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Une démonstration de force, une leçon de football, un message envoyé à la planète. Le Paris Saint-Germain, champion d’Europe en titre, a pulvérisé le Real Madrid (4-0) ce mercredi pour s’offrir une place en finale de la Coupe du Monde des Clubs. Au terme d’une des performances collectives les plus abouties et les plus impressionnantes de l’ère QSI, le club parisien a marché sur le géant merengue, pliant le match en vingt-cinq minutes de pure folie avant de gérer en maître.

Vingt-cinq minutes de furia pour une leçon de football

Il n’y a tout simplement pas eu de match. Dès les premières minutes, la furia parisienne a tout emporté. Un pressing étouffant, des transitions éclairs, une justesse technique insolente et une efficacité clinique. Fabián Ruiz, après deux premières alertes repoussées par Courtois, trouvait la faille d’une frappe croisée (6e). Trois minutes plus tard, Ousmane Dembélé, sur un pressing gagnant, s’en allait battre le portier belge (9e). Puis Ruiz, encore lui, à la conclusion d’un mouvement collectif sublime initié par Hakimi, portait le score à 3-0 (24e). Le Real était K.O., naufragé, humilié.

Dembélé en état de grâce, un collectif de fer

Dans cette tempête, un homme a brillé de mille feux : Ousmane Dembélé. Auteur du deuxième but, à l’origine du premier, l’ailier français a livré une prestation époustouflante pendant l’heure qu’il a passée sur le terrain, qui le rapproche un peu plus d’un Ballon d’Or qui lui tend les bras. Mais c’est tout le collectif parisien qui fut immense. De la charnière Beraldo-Marquinhos, impériale et qui a rendu Kylian Mbappé totalement invisible, à un milieu dominateur, Paris a surclassé un Real timoré et dépassé dans tous les duels.

Dembélé et Ruiz portent un PSG galactique, Ramos achève le Real !

Une gestion de champion et un banc en or

La seconde période ne fut qu’une longue et sereine gestion, preuve de la nouvelle maturité de cette équipe. Le score, déjà lourd, aurait pu s’aggraver bien plus tôt sans plusieurs situations de hors-jeu. Luis Enrique en a profité pour faire tourner son effectif, lançant ses jeunes talents et ses remplaçants sans que le niveau de l’équipe ne baisse d’un iota. Et ce sont d’ailleurs deux entrants qui ont parachevé le succès en fin de partie. Sur un dernier contre, Bradley Barcola servait Gonçalo Ramos qui, après un pivot plein de sang-froid, concluait tranquillement pour le quatrième but (88e). Une humiliation totale pour le Real, une démonstration de la profondeur du banc parisien.

Paris, futur roi du monde ?

Paris est donc en finale, face à Chelsea, et se présente en immense favori. Cette claque infligée au plus grand club du monde est un fait d’arme qui restera dans les mémoires. Sérieux, appliqués, et portés par des individualités au sommet de leur art, les champions d’Europe semblent inarrêtables dans leur quête d’un quadruplé (ou quintuplé) historique. Aujourd’hui, on voit mal qui pourrait se mettre en travers de leur route vers le toit du monde.

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