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Revue de presse PSG : Nice, Ousmane Dembélé…

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Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce samedi 26 avril 2025. La première défaite de la saison en Ligue 1 à quatre jours d’Arsenal, Ousmane Dembélé ne marque plus, Dembélé, l’homme le plus dangereux contre Nice…

Dans son édition du jour, L’Equipe fait sa Une sur la défaite du PSG contre Nice hier (1-3), sa première de la saison en Ligue 1. Pour le quotidien sportif, le revers sur la pelouse du Parc des Princes est une raison profonde de s’inquiéter pour le PSG. « Si les Parisiens sont prêts pour le grand combat qui les attend à l’Emirates, ils l’ont bien caché. Ils viennent de remporter une seule de leurs quatre dernières rencontres, ils ont perdu leur invincibilité nationale, Aston Villa a rappelé que l’Angleterre n’avait pas à avoir peur d’eux, leur capacité à ne pas prendre de buts est incroyablement inexistante (deux clean-sheets sur les treize dernières rencontres) et Ousmane Dembélé ne marque plus depuis cinq matches : il y a de meilleures manières de s’avancer vers le rendez-vous le plus important de la saison. » Si l’idée de la soirée était une répétition, elle a été un bégaiement de l’histoire, pour Paris, à nouveau trop faiblement efficace devant le but, trop friable en défense, tous ses vieux défauts en même temps. De fait, Nice a donné l’impression que ce PSG était prévisible, qu’il valait mieux éviter de construire en position basse quand son pressing était en place, mais qu’il fallait se projeter vite et en nombre à la moindre lueur, parce que les espaces pouvaient s’ouvrir, analyse L’Equipe. « Que le PSG continue de prendre des buts est une chose : jusque-là, il vit avec, et n’en meurt pas souvent. Mais ce n’était probablement pas le moment, juste avant de filer à Londres, de défendre aussi mal, de ressusciter le débat de l’inefficacité, et de voir soudain s’étendre, sur leur printemps, l’ombre d’un doute », conclut le quotidien sportif. 

De son côté, Le Parisien évoque aussi la défaite du PSG contre Nice hier soir. « C’est le principal souci à quatre jours du choc en demi-finale aller de la Ligue des champions : les hommes de l’Asturien ont égaré leur abattage dans les courses sans ballon, dans les replacements et les duels. Comme si le pic de forme des joueurs essentiels était derrière eux, et non pas devant. Un énorme coup dur alors que le meilleur morceau de la saison arrive. » Pourtant, redoutant un coup fumant, Luis Enrique avait choisi d’aligner son équipe type, sans doute celle qui commencera à Londres, avance le quotidien francilien. « Averti, João Neves a par exemple été méconnaissable, souvent en retard dans ses interventions. Il n’est pas le seul. Vitinha aussi, auteur de la faute sur le premier but des Sudistes. Marquinhos n’a jamais diffusé la moindre sérénité dans une défense peu compacte et sans impact. Elle s’est effondrée et a plié sur ses points faibles, les coups de pied arrêtés, un domaine où la meilleure formation d’Europe se nomme… Arsenal. Paris n’est pas au bout de ses peines. » Tout ça aurait débouché sur moins de conséquences si Ousmane Dembélé and co n’étaient pas tombés sur un Marcin Bulka des grands soirs, souligne Le Parisien. Même ses qualités morales, son caractère surpuissant, son état d’esprit de conquérant par tous les temps se sont évanouis dans une nuit, à Birmingham ou ailleurs. Le PSG avait la foi mais il ne sait plus où il l’a laissée. Il n’a plus que quatre jours pour remettre la main ou les pieds dessus, conclut Le Parisien.

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L’Equipe fait également un focus sur Ousmane Dembélé. En feu depuis le début de l’année 2025, le numéro 10 du PSG n’a plus marqué depuis cinq matches. Le quotidien sportif explique que l’international français n’a pas choisi le meilleur moment pour connaître cette période d’inefficacité. Contre les Aiglons, il a tenté sept tirs, dont six dans la surface, pour trois tentatives cadrées. Une action résume ses problèmes du moment, assure L’Equipe. Sa frappe du droit trop forcée et complètement manquée à la 48e. « Une action loin d’être anodine dans la séquence que traverse le Français. Un peu excentré sur le côté droit, Dembélé a fermé les yeux pour tenter de marquer en force, ce qu’il ne faisait plus si souvent ces derniers mois, préférant placer son ballon. Est-ce le signe d’un retour du doute dans son esprit au moment de se présenter devant le but ? C’est trop tôt pour l’affirmer », assure le quotidien sportif. Hier, il a tout de même été décisif avec une très belle passe décisive pour Fabian Ruiz, sa troisième sur les quatre derniers matches. Pour expliquer sa méforme, on peut miser sur le manque de rythme et d’une gestion délicate de Luis Enrique, avance L’Equipe. « La fin de saison dira si l’international français était dans un état de grâce passager ou si, vraiment, son passé de joueur en difficulté devant le but n’est qu’un lointain souvenir. » 

Le Parisien évoque aussi le match d’Ousmane Dembélé contre Nice hier soir. « Il a été l’un des seuls à surnager. Peu en vue ces dernières semaines, Ousmane Dembélé a très certainement rassuré nombre de supporters du PSG, ce vendredi 25 avril », avance le quotidien francilien. Le Parisien estime aussi que le numéro 10 du PSG a été l’un des Parisiens les plus percutants contre les Niçois. « Remuant, permutant régulièrement avec Désiré Doué et Khvicha Kvaratskhelia, « Dembouz » a multiplié les offensives dès les premiers instants de la rencontre. » Mais ce que l’on retiendra de cette rencontre, c’est très certainement ce bijou de passe offert à Fabian Ruiz en fin de première mi-temps (41e). D’un petit ballon piqué du pied gauche, Ousmane Dembélé a parfaitement su trouver son coéquipier dans la surface, auteur alors d’une superbe demi-volée, lance le quotidien francilien. « On pourra bien lui reprocher deux, trois pertes de balles frustrantes mais Ousmane Dembélé a été impeccable dans l’engagement et l’implication. Quand Nice avait le ballon entre les jambes, il était le premier à haranguer ses coéquipiers afin qu’ils intensifient le pressing. Lui-même n’a cessé d’empoisonner le gardien adverse lors de ses relances. » À défaut d’avoir battu un record d’invincibilité et d’avoir trouvé les clés face à une solide équipe niçoise, le Paris Saint-Germain a certainement retrouvé l’homme fort de son effectif, l’un de ses joueurs clés. Et il en aura bien besoin ce mardi à l’Emirates Stadium, face à Arsenal en demi-finale aller de Ligue des champions, conclut Le Parisien






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