Nouvelles

Anciens – Javier Pastore se remémore ses meilleurs souvenirs au PSG

0 0

Devenu l’un des chouchous du Parc des Princes lors son passage au PSG, Javier Pastore s’est remémoré ses meilleurs souvenirs chez les Rouge & Bleu.

Première grosse recrue de l’ère QSI, Javier Pastore aura marqué le coeur et les esprits des supporters du PSG. Entre 2011 et 2018, l’international argentin aura inscrit son nom dans l’histoire récente des Rouge & Bleu, malgré une carrière plombée par les blessures. Jeune retraité, l’ancien Parisien a gardé une attache très forte avec le club de la capitale. Dans un entretien accordé aux médias du club, Javier Pastore (35 ans) est revenu sur ses meilleurs souvenirs sous le maillot parisien.

Son choix de rejoindre le PSG

« Il y avait beaucoup d’équipes. Il y avait Chelsea, l’AC Milan… On parlait beaucoup avec tous ces clubs. Mais, j’ai fait un rêve pendant mes vacances et je rêvais que je marchais avec ma fiancée en bas de la Tour Eiffel. À ce moment là, je me suis dit ‘Ok, c’est fini’ et j’ai appelé mon agent pour lui dire : ‘Je veux aller au Paris Saint-Germain parce que j’ai fait un rêve.’ C’est pour cela que j’ai choisi Paris. C’est vrai qu’il y avait un projet extraordinaire. On savait que des très grands joueurs pouvaient arriver dans le club. »

Sa présentation au Parc des Princes

« Je me rappelle, je suis rentré avec un petit garçon et maintenant on parle beaucoup sur Instagram. Il m’écrit tout le temps. C’était un moment extraordinaire. Je n’avais jamais été présenté par une équipe. On n’avait pas gagné ce match-là mais j’avais dit aux gens du club : ‘Dès que je vais jouer, on va commencer à gagner’ (rires). »

La victoire 1-5 face à l’OM au Vélodrome

« C’était un match que normalement je ne devais pas jouer. Ça aurait dû être Draxler le titulaire mais il s’était levé le matin avec de la fièvre et le coach m’a ensuite mis titulaire. Sa passe décisive pour Cavani ? Je m’en rappelle très bien. Verratti me fait la passe et moi sans regarder je fais une passe sans voir vu Cavani parce que je savais qu’il devait aller dans cette zone, et lui savait que j’allais faire la passe. C’est une action extraordinaire, je préfère cette passe que de marquer un but. »

Son but en quart de finale de LdC face au FC Barcelone

« C’était un but qui était nécessaire, on avait besoin de gagner le match pour se qualifier. On avait la possibilité de passer ces quarts de finale et c’était les émotions. C’était ma première année en Ligue des champions et marquer contre Barcelone c’était important. J’avais beaucoup de sensations. J’étais content parce que j’avais marqué mais à la fin on n’était pas qualifié. Ça reste un but, je ne peux pas penser plus que ça parce qu’il nous a pas donné la qualification. »

Son but contre Chelsea

« C’est un but qui m’a marqué, et les supporters aussi. C’était extraordinaire, je suis rentré pour cinq minutes pour perdre un peu de temps et à la fin je fais une action sur le côté où je dribble tout le monde, je marque du pied gauche. C’est un peu impensable mais c’est le football. »

Le match historique sur la pelouse de Chelsea (2-2)

« On prend un carton rouge tout de suite et on joue à dix presque pendant tout le match. C’est un match où l’équipe avait joué super bien. Sincèrement, on avait fait un match complet, on avait crée beaucoup d’occasions. C’était une qualification qu’on aimait bien parce que l’année précédente on avait perdu contre Chelsea. C’était une qualification qui nous a donnée beaucoup de bonheur. »

Le PSG, une grande famille

« Je suis resté en contact avec tous les coéquipiers avec lesquels j’ai joué au PSG. Je parle avec tout le monde, j’ai une très bonne relation. J’habite en Espagne, donc à chaque fois qu’ils viennent à Madrid je les vois. Lavezzi, Verratti, Thiago Motta, Ibrahimovic, Maxwell, Sirigu. À chaque fois que je viens à Paris, je suis avec Jallet, Hoarau, Chantôme, Armand. Ça reste une famille et les bons moments qu’on a passé ensemble. Moi, je faisais plein de fêtes à la maison où toute l’équipe venait. On était une famille parce qu’on passait beaucoup de temps ensemble, et pas seulement sur les terrains et lors des entraînements mais aussi à l’extérieur. On faisait des vacances ensemble, on mangeait ensemble. On fêtait tous les anniversaires de n’importe qui dans la famille, les enfants, les femmes, les soeurs, et on invitait toute l’équipe. C’était vraiment incroyable. Je n’ai jamais vu un autre vestiaire comme celui-ci. »

L’amour des supporters du PSG

« Je l’ai senti tout de suite. Et plus le temps passait, plus les supporters étaient derrière moi. Ils me soutenaient toujours, même dans les moments les plus difficiles ici à Paris. C’est une relation qu’on a crée et qui ne se finira jamais. Quand je reviens à Paris, je reçois l’amour et la chaleur des supporters qui sont uniques. »

Le PSG de Luis Enrique

« Je vois une équipe solide, très forte, avec beaucoup de jeunes joueurs mais qui ont une personnalité de grands joueurs, avec beaucoup de qualité technique et un état d’esprit collectif incroyable. Ça, ça doit beaucoup à la relation qu’ils ont avec l’entraîneur. C’est une équipe que j’aime beaucoup voir jouer. C’est une équipe qui fait tout, elle presse bien et joue bien au ballon. Il y a beaucoup de qualité et des joueurs techniques que j’aime, comme Dembélé, Barcola, Doué, João Neves, Nuno Mendes. Ce sont des joueurs qui font la différence. C’est ce que j’aime dans le football. »

Le match face à Aston Villa

« Ça va être un match difficile parce qu’Unai (Emery) travaille très bien pour contrer l’adversaire. C’est quelque chose que j’ai noté ici au PSG quand on a évolué ensemble. Aussi, c’est un entraîneur qui a beaucoup grandi ces dernières années. C’est une équipe difficile mais je pense que Paris a beaucoup plus de tout, plus de technique, de physique et la jeunesse. Ce sont des matches où on a besoin de bien jouer. »

Source

Comments

Комментарии для сайта Cackle
Загрузка...

More news:

La Copa America et le tirage au sort en Argentine

Read on Sportsweek.org:

Autres sports

Sponsored