Sergio Ramos au Mexique : des privilèges qui font scandale
À 38 ans, Sergio Ramos a choisi le Mexique pour ce qui pourrait être son dernier défi en club. Une destination inattendue, mais qui semble lui convenir parfaitement. Toutefois, au-delà de son talent et de son charisme, c’est son attitude et les conditions de son contrat qui font jaser. L’ancien capitaine du Real Madrid se comporte en véritable star intouchable, négociant des clauses qui laissent penser qu’il veut allier prestige et confort personnel.
Sergio Ramos, contrat en or et des privilèges hors normes
Monterrey n’a pas hésité à casser sa tirelire pour attirer Sergio Ramos. Selon diverses sources, son salaire oscillerait entre 4 et 5 millions d’euros annuels, ce qui fait de lui le joueur le mieux payé de l’équipe. Mais l’aspect financier n’est pas le seul élément marquant de son contrat. Des rapports évoquent des clauses surprenantes : la possibilité de choisir les matchs auxquels il veut participer, des primes spéciales pour la Coupe du Monde des Clubs et même un pourcentage sur la vente de maillots floqués à son nom. Si ces informations ne sont pas totalement confirmées par les sources les plus fiables, elles nourrissent déjà une polémique grandissante.
Une arrivée qui fait débat
Si Monterrey espérait attirer la lumière avec un tel recrutement, la présence de Ramos divise. D’un côté, son expérience et son leadership sont vus comme un atout pour le club. De l’autre, ses exigences exaspèrent et donnent l’image d’un joueur plus soucieux de préserver son confort que de se battre sur le terrain. Ses débuts en Liga MX ont d’ailleurs été scrutés de près, avec des médias espagnols qui n’ont pas manqué de souligner que pour le président de Monterrey, Ramos serait « au niveau de Messi ». Un éloge qui a fait sourire certains et grincer des dents d’autres.
Un dernier défi ou une retraite dorée ?
Avec ce passage au Mexique, Sergio Ramos semble vouloir écrire une dernière page à sa légende, tout en s’offrant une fin de carrière sous les projecteurs, mais sans trop d’efforts. Reste à voir si son attitude ne finira pas par agacer son club, voire ses coéquipiers. Pour l’instant, une chose est sûre : Ramos continue de faire parler de lui, sur et en dehors du terrain.