Van Dijk fixe le décor : Paris ne sera pas le bienvenu à Anfield

Liverpool ne compte pas laisser le Paris Saint-Germain dicter sa loi à Anfield. Alors que les Reds s’apprêtent à recevoir le club de la capitale en huitième de finale retour de la Ligue des Champions, Virgil van Dijk a tenu à envoyer un message clair. Le capitaine des Reds veut transformer Anfield en un enfer pour les Parisiens et rappeler au monde entier pourquoi ce stade est l’un des plus redoutés d’Europe.

Anfield, un piège pour le PSG ?

Après une victoire retentissante face à Manchester City à l’Etihad, Liverpool est plus que jamais en confiance. Avec sept de leurs onze derniers matchs à domicile, les hommes d’Arne Slot comptent bien faire de leur stade une forteresse imprenable. “Nous devons rendre Anfield horrible pour nos adversaires”, a déclaré Van Dijk. Une phrase lourde de sens qui résonne comme un avertissement pour le PSG, qui viendra jouer sa qualification sur la pelouse mythique des Reds.

Les Parisiens, invaincus à l’extérieur en Ligue 1 depuis 34 matchs, savent qu’ils devront élever leur niveau face à un adversaire qui ne leur a jamais vraiment réussi sur la scène européenne. En effet, lors de leur dernier déplacement à Anfield en 2018, Paris avait sombré (3-2). Avant cela, en 1997, en Coupe des Coupes, Liverpool s’était aussi imposé face aux Rouge et Bleu.

Paris sur ses gardes

Si le PSG a prouvé cette saison qu’il savait voyager en championnat, la Ligue des Champions est une toute autre histoire. Les hommes de Luis Enrique ont concédé deux défaites à l’extérieur dans cette compétition cette saison, face au Bayern Munich et à Arsenal. Un signe que le défi qui les attend à Anfield sera d’une intensité bien différente.

Van Dijk et Liverpool ont clairement affiché leurs intentions : le PSG ne sera pas accueilli en terrain conquis. Reste à savoir si Ousmane Dembélé et ses coéquipiers sauront faire face à la pression d’Anfield et briser enfin la malédiction qui les poursuit en terre anglaise. Une chose est sûre : une équipe avertie en vaut deux…