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Revue de presse PSG : Bernardo Silva, Haaland, Zaïre-Emery…

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Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce mardi 21 janvier 2025. Bernardo Silva, source d’inspiration de Neves et Vitinha, quand Nasser al-Khelaïfi voulait Haaland pour remplacer Mbappé, Warren Zaïre-Emery, un symbole du nouveau PSG…

Dans son édition du jour, L’Equipe évoque Warren Zaïre-Emery. Pour le quotidien sportif, si le titi est un symbole du nouveau PSG, il n’a ni le tempérament ni le statut pour en devenir le porte-drapeau. « Dans le foot, Warren Zaïre-Emery est international depuis novembre 2023, il vient de jouer son centième match pour le PSG, et le club parisien l’a érigé en symbole multiple : de l’après-Mbappé, d’un club qui serait bâti autrement que par ou pour des stars, de son vivier désormais installé au Campus, à Poissy, ou encore de l’idée d’une fidélité qui contrevient à l’époque et à de récentes manières. » Au PSG, on souligne qu’il n’a pas changé, jamais : un gars qui aime le club, à l’écoute, sobre jusque dans son choix de voiture, que ni sa très large revalorisation salariale, au moment de sa prolongation jusqu’en 2029, en avril,ni la médiatisation n’ont arraché à son goût pour l’ombre, qui s’accorde à son jeu et à son tempérament, avance le quotidien sportif. « Si quelques-uns l’oublient, lui semble se souvenir qu’il a 18 ans, et se rapproche des joueurs de sa génération, au PSG, Hugo Ekitike et Ethan Mbappé, la saison dernière, Désiré Doué, Senny Mayulu, Yoram Zague mais aussi Bradley Barcola, cette saison. À un moment, il sera sans doute attiré par d’autres choses, ce sera un passage ou une inclination plus durable, il n’y a pas de vie ni de carrière d’un seul bloc. Mais il a déjà visité quelques paliers différents depuis dix-huit mois, et il continue. » Il ne peut pas être le nouveau porte-drapeau du PSG de l’après Kylian Mbappé, il lui manque un peu d’aisance médiatique, d’éclairs dans son jeu et de prédestination pour la lumière ; non, il ne peut pas être encore un joueur indispensable à l’équipe de France, il doit continuer d’apprendre après un Euro où il n’a pas joué une minute ; non, il n’est pas un produit fini, et l’environnement parisien au sens large doit accepter que quinze mois après son explosion au plus haut niveau il soit entré dans une autre logique, toujours remarquable mais moins spectaculaire, plus linéaire. Luis Enrique a encore élargi sa polyvalence en lui assignant, parfois, de se replacer dans la défense à trois quand le PSG a le ballon, conclut L’Equipe.

Le quotidien sportif propose des équipes probables pour le choc entre le PSG et Manchester City demain soir.

  • Le XI probable du PSG selon L’Equipe : Donnarumma – Hakimi, Marquinhos (c), Pacho, Neves – Zaïre-Emery, Vitinha, Neves (ou Ruiz) – Doué (ou Lee), Dembélé, Barcola
  • Le XI probable de Manchester City selon L’Equipe : Ederson – Lewis, Akanji, Dias, Gvardiol – Silva, Kovacic – Foden, De Bruyne (c), Dodu – Haaland

Dans son édition du jour, Le Parisien évoque Bernardo Silva, milieu de terrain de Manchester City, qui est une source d’inspiration pour ses compatriotes du PSG, Joao Neves et Vitinha. Le quotidien francilien indique que l’ancien Monégasque représentait ces dernières années une forme d’idéal pour Luis Campos, le conseiller sportif des Rouge & Bleu. L’international portugais possède une large palette capable d’influencer les deux joueurs du PSG. L’une des similitudes entre Bernardo Silva et Joao Neves, leur habilité avec le ballon. Bernardo Silva est le meilleur passeur portugais de l’histoire de la Premier League, Joao Neves est le meilleur passeur de Ligue 1 avec six offrandes. Les deux joueurs passés par Benfica s’admirent. « Une admiration partagée par Vitinha, mais logiquement en décalage avec celle qui a aidé Neves à se construire. Six ans seulement séparent l’aîné des « Lusitano-Parisiens » de son homologue de City. » Un écart bien trop mince pour que Vitinha ait pu cheminer avec Silva comme modèle, avance Le Parisien. Malgré tout, Bernardo est joueur que Vitinha admire depuis très longtemps, confie un membre du premier cercle du milieu parisien auprès du quotidien francilien. « Plutôt petit (1m72), Vitinha a fait en sorte d’optimiser sa vision du jeu, sa prise de décision rapide, et sa science de la passe, pour que ce physique plutôt frêle soit un atout. Difficile de ne pas voir, au-delà du terrain, quelques similitudes avec Silva aussi dans l’humilité et la façon de s’exprimer tout en douceur qui accompagne le quotidien des deux milieux », conclut Le Parisien

A voir aussi : Vitinha : « Je veux vraiment rester au PSG, je suis vraiment heureux ici »

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Le quotidien francilien évoque aussi le souhait de Nasser al-Khelaïfi de remplacer Kylian Mbapppé par Erling Haaland. En 2020, après la double confrontation entre le PSG et le Borussia Dortmund en Ligue des champions, le président parisien est impressionné par l’impact et la force de l’international norvégien. « À l’époque, Kylian Mbappé entretient savamment le flou sur son avenir et ses intentions. Les relations entre son clan et le président sont tendues, d’autant plus que le Real Madrid maintient la pression pour recruter au plus vite la star des Bleus. Les dirigeants parisiens doivent se préparer à toutes les éventualités. Nasser Al-Khelaïfi n’a pas encore décrété la fin de la période bling-bling et, en cas de départ de Mbappé, il faudra absolument remettre des paillettes dans les yeux des supporters. » Dans cette optique, pour Nasser al-Khelaïfi et Leonardo, le directeur sportif de l’époque, le plan est clair : il faut tout de suite se positionner sur Erling Haaland. « Le PSG fait rapidement connaître ses intentions auprès de l’agent du joueur, Mino Raiola. Il entretient une relation solide avec Leonardo et peut se révéler être un allié de poids. Mais sa force de persuasion ne suffit pas. À un moment donné, les dirigeants parisiens doivent entrer en jeu et dévoiler leurs intentions directement auprès de la garde rapprochée du joueur. » L’opération a lieu au Qatar, en décembre 2020. Victime d’une blessure musculaire à la cuisse, le Norvégien décide de se faire soigner à la clinique Aspetar à Doha. Hasard ou coïncidence, Nasser Al-Khelaïfi est justement présent dans son pays durant cette période. Le président du PSG joue à domicile et en profite pour entrer en contact avec le père du joueur. Le courant passe très bien, avance le quotidien francilien. Mais pour Paris, le projet Haaland va s’éteindre sept mois plus tard. Avec la signature de Lionel Messi, qui n’était pas prévue, et le refus de vendre Mbappé au Real Madrid, le PSG n’a plus les ressources financières ni les arguments sportifs pour conclure une telle affaire. Il laisse sa place aux autres cadors européens. Même s’il a récemment prolongé son contrat jusqu’en juin 2034 avec Manchester City, Erling Haaland reste reconnaissant de l’intérêt que lui a porté Al-Khelaïfi. En août 2024 à Monaco, alors qu’il venait de recevoir le prix de joueur UEFA de l’année, Haaland et ses proches sont restés de longues minutes à échanger avec le patron du PSG, toujours admiratif de la simplicité et du respect dont fait preuve le clan du Norvégien, conclut Le Parisien.



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