"Madame a beaucoup de mal à s’en défaire" : accusé de violences, il nie et affirme que sa campagne s’est agacée car il ne voulait pas faire la cuisine
La violence conjugale est au cœur du procès d’un Ariégeois quinquagénaire, accusé d’agressions conjugales sur sa compagne. Malgré un contrôle judiciaire, il admet l’avoir contactée. La justice a requis trois mois de prison avec sursis. La procureure Elodie Girardelli ne peut empêcher ses yeux de s’écarquiller, Maître Parant lèvre un sourcil, Laura* se frotte le visage des deux mains, l’air exaspéré. Sous leurs yeux, face à la juge Anna Michaut tout aussi désarçonnée, Paul* vient de confesser bien volontiers qu’il n’a pas respecté les termes de son contrôle...

