Nouvelles

Reportage : Croisière safari en Afrique australe

0 5
La compagnie CroisiEurope nous a emmenés entre Afrique du Sud, Botswana, Namibie et Zimbabwe lors d’un safari à la fois terrestre et nautique, au fil du fleuve Zambèze et de la rivière Chobé, pour finir en beauté par une navigation sur le lac Kariba à bord de l’African Dream. Une croisière fluviale inoubliable. Texte Brigitte Postel - Photos l’auteure et DR (Yacht by Neptune 2025) [caption id="attachment_207419" align="aligncenter" width="500"] Le lac Kariba est un lac artificiel de 5 400 km2, entre Zambie et Zimbabwe. Il mesure 220 km de long et jusqu’à 40 km de large © Yacht By Neptune[/caption]

Au sommaire :

C’est à Johannesburg, capitale économique de l’Afrique du Sud, que débute notre périple. Pas le temps de s’attarder dans cette ville qui a connu 43 ans (1948-1991) de lutte contre la ségrégation raciale. Nous visitons le bouleversant musée de l’Apartheid dont on ne ressort pas indemne, tant les images et les témoignages sont poignants. Le combat de Nelson Mandela et de la population de couleur y est retranscrit avec force détails. On enchaîne avec le quartier de Soweto et ses quelque 5 millions d’âmes, quartier symbolique de la lutte anti-apartheid, et la maison de Mandela devenue un musée. Après une nuit dans un joli hôtel du quartier des affaires, un petit avion nous conduit de Johannesburg à Kasane, au Bostwana, où débute notre safari. [caption id="attachment_207404" align="aligncenter" width="500"] Les singes intrépides qui essaient de nous chaparder de quoi manger dès qu’on fait une pause-café. © B. Postel[/caption]

L’île d’Impalil

Kasane est connue pour être la porte d’entrée de la bande de Caprivi, une langue de terre namibienne étroite qui se faufile entre l’Angola, le Botswana, le Zimbabwe et la Zambie. Une embarcation nous attend pour nous conduire sur l’île d’Impalila, à la pointe orientale de la Namibie, là où les eaux du Zambèze rencontrent celles de la rivière Chobé. Affluent du Zambèze, la rivière Chobé serpente mollement à travers la plaine. [caption id="attachment_207408" align="aligncenter" width="500"] Deux pêcheurs botswanais se déplacent dans leur mokoro, une barque traditionnelle creusée dans un tronc de mopane © B. Postel[/caption] Ce trajet nous offre déjà un bel aperçu de la vie sauvage. Ses berges sont couvertes de prairies humides, de papyrus et de roselières où se cachent des crocodiles et de nombreux oiseaux. Quelques anhingas, oiseaux aquatiques à long cou, font sécher leurs ailes au soleil. Un groupe d’hippopotames grogne à notre passage. Seuls leurs petites oreilles, leurs narines et leurs yeux émergent, tels de minuscules périscopes. Immobile dans l’eau, un croco de bonne taille paresse en attendant une proie éventuelle, tandis que d’autres dorment d’un œil sur la berge. Juste avant d’atteindre l’île d’Impalila, on entend le grondement de rapides qui ponctuent le Zambèze. [caption id="attachment_207412" align="aligncenter" width="500"] On pourrait croire ce crocodile empaillé tant il est placide…© B Postel[/caption]

Acte un, le safari

L’île est entourée à la fois du fleuve Zambèze, de la rivière Chobé et du canal de Kasai. Encore deux minutes de navigation sur un bras de la rivière et nous voici au Cascades Safari Lodge où nous resterons trois nuitées. Nous sommes en terre namibienne et le Parc national de Chobé, où se passent les safaris, au Bostwana. [caption id="attachment_207407" align="aligncenter" width="500"] La grande terrasse en bois du Cascades Safari Lodge offre une vue exceptionnelle sur les rapides du fleuve Zambèze © B. Postel[/caption]

Parc national de Chobé

Une concentration exceptionnelle d’animaux. Chaque jour, nous franchissons les frontières pour rejoindre cette réserve de près de 12 000 km², enchâssée entre la Namibie, le Zimbabwe et l’Afrique du Sud. Arrivés au Botswana, nous embarquons à bord de grands 4X4 ouverts. La matinée est entièrement consacrée à la découverte de la faune. Le sommaireyachté est le troisième plus grand du pays (10 878 km²), après celui transfrontalier de Kgalagadi (38 000 km²) et la réserve de chasse du Kalahari central (5 235 474 ha). Le Bostwana consacre plus de 30 % de son territoire à la conservation de la nature et protège la plus grande population au monde d’éléphants d’Afrique avec quelque 130 000 animaux. [caption id="attachment_207400" align="aligncenter" width="500"] Un jeune éléphant solitaire en rut d’une quinzaine d’années se promène sur la berge du lac Kariba. © B. Postel[/caption] Le gouvernement a interdit la chasse aux trophées en 2014, mais a levé les restrictions en 2019 sous la pression des communautés autochtones, compte tenu de l’augmentation rapide du nombre d’animaux et des dégâts qu’ils commettent. Le pays permet désormais cette chasse avec des quotas stricts. Environ 300 permis sont délivrés chaque année, générant à peu près 3 millions de dollars de revenus. La chasse est toutefois interdite dans les parcs nationaux, mais on ne peut empêcher les animaux de circuler d’un endroit à l’autre… Il est pour tant peu de spectacles aussi magnifiques qu’un troupeau d’éléphants déambulant tranquillement dans la nature ou barbotant dans la rivière. [caption id="attachment_207411" align="aligncenter" width="500"] Deux éléphants juvéniles (entre 5 et 9 ans) chahutent en se poussant à coups de trompe. © B. Postel[/caption] Le Groupe est toujours conduit par la matriarche. Elle connaît les points d’eau qui ne se tarissent pas lors des périodes de sécheresse et les endroits où la nourriture abonde. Ces pachydermes peuvent consommer à l’âge adulte entre 150 et 300 kg d’herbe chaque jour. Ils ne sont pas pour autant des animaux des plaines et préfèrent les zones de forêts qui leur offrent de l’ombre et de la fraîcheur. Au détour de la piste, on tombe sur un éléphanteau qui dort allongé entre sa mère et une autre femelle, chacune dans un sens opposé pour surveiller les éventuels prédateurs. Notre guide s’évertue à nous faire voir le maximum d’animaux. Les chauffeurs se renseignent entre eux par radio. Là, il y a des lions assoupis à l’ombre d’un arbre, des buffles ou des léo pards, des aigles pêcheurs à la cime des arbres et des singes intrépides qui essaient de nous chaparder de quoi manger dès qu’on fait une pause-café. Partout, on rencontre les graciles impalas, régime de base de nombreux prédateurs. Les femelles vivent en troupeaux dans la savane, chaperonnées par un seul mâle qui a dû se battre dur pour avoir ce statut jamais gagné. Ces antilopes se nettoient le cou et la tête les unes les autres, un exemple de coopération réciproque rare chez les mammifères non primates. [caption id="attachment_207409" align="aligncenter" width="500"] Dissimulée à l’ombre d’un bosquet, une lionne émerge de sa sieste et nous regarde sans crainte aucune. © B. Postel[/caption] L’après-midi, nous partons pour un safari en petit bateau. En se rapprochant de la rivière, quelques impalas sau tillants s’invitent dans notre objectif. De grands troupeaux se succèdent, toujours surveillés par un mâle dominant qui garde jalousement son harem. C’est aussi le garde-manger des lions qui tentent d’avancer couchés pour un festin souvent raté. Les singes les ont repérés et ont donné l’alerte dans un langage que tous les animaux de la savane comprennent. [caption id="attachment_207410" align="aligncenter" width="500"] Les girafes ont une langue préhensile de 45 cm de long qui leur permet de saisir les feuilles d’acacias sans se blesser avec leurs longues épines. © B. Postel[/caption]

Balade au village de Kamavosu.

Le lendemain est consacré à la découverte de l’île d’Impalila et de ses habitants. Ils sont environ 2 500 à vivre ici de l’agriculture, de la pêche et du tourisme. [caption id="attachment_207414" align="aligncenter" width="500"] Pour nous accueillir,les femmes de l'ethnie Subiya ont mis leurs robes de fêtes, composées de plusieurs jupons plissés qui ondulent au balancement des hanches. © B. Postel[/caption] Des femmes de l’ethnie Subiya, un groupe originaire d’Afrique du Sud, nous font une démonstration de danses et de chants en guise de bienvenue. Pour nous accueillir, elles ont mis leurs robes de fêtes, composées de plusieurs jupons plissés qui ondulent au balancement des hanches. Ils sont censés rappeler la robe colorée du paon, nous dit-on. Nous assistons aussi à une démonstration de pilage du maïs auquel s’essaie un jeune homme du groupe. Pas si simple ! [caption id="attachment_207418" align="aligncenter" width="500"] Des femmes de l’ethnie Subiya, un groupe originaire d’Afrique du Sud, font une démonstration de danses et de chants en guise de bienvenue. © B. Postel[/caption] Les villageois sont mieux lotis depuis que CroisiEurope s’est installé sur l’île. Les lodges de la compagnie ont été bâtis sur des terrains dépendant du village de Kamavosu. En échange, CroisiEurope fournit l’eau courante et l’électricité à toutes les maisons. La compagnie tient à impliquer les populations locales dans son développement. Serveurs, femmes de chambre, guides, cuisiniers sont recrutés et formés localement. [caption id="attachment_207420" align="aligncenter" width="500"] Dans les anses de la rivière Chobé, en eau peu profonde, on peut contempler des tapis de lotus, dont la fleur se dresse au-dessus de l’eau. © B. Postel[/caption]

Le Lac Kariba

En immersion sur le lac Kariba. Après un ultime safari nautique, nous partons pour l’aérodrome de Kasane. Un Cessna nous attend sur le tarmac pour nous conduire à Kariba, au Zimbabwe. Deux heures de vol à survoler la savane. Le lac Kariba est un vaste lac artificiel de 5 400 km², partagé par la Zambie et le Zimbabwe. Il mesure 220 km de long et jusqu’à 40 km de large, et entre 10 m et 70 m de profondeur selon le niveau des pluies. La sécheresse n’a pas épargné le lac en 2024 et du ciel, on peut voir des centaines d’îlots qui affleurent et des berges asséchées, découpées telle de la dentelle. [caption id="attachment_207401" align="aligncenter" width="500"] Le barrage de Kariba, détenu conjointement par la Zambie et le Zimbabwe, a la capacité de produire 1 050 mégawatts mais n’en produit plus que 300 © B. Postel[/caption] Cette retenue d'eau doit son existence à la construction, entre 1955 et 1959, d’un barrage hydraulique sur le fleuve Zambèze qui le traverse avant de se briser dans les chutes Victoria. Cet impressionnant ouvrage d’art, conçu par l’ingénieur français René Coyne, fournit de l’électricité au Zimbabwe et à la Zambie. La montée des eaux entraîna l’évacuation des villages et eut raison de nombreuses espèces animales dans la vallée, malgré une incroyable « opération Noé » qui permit de sauver près de 6 000 animaux pris au piège. On rejoint notre bateau, l’African Dream, où nous allons passer trois nuits. Nous sommes chaleureusement accueillis par le capitaine Leonard Litiba et son équipage. Ce luxueux navire de huit cabines est idéal pour caboter sur le lac dans des conditions optimales de confort et en toute sécurité [caption id="attachment_207415" align="aligncenter" width="500"] L'African Dream sur le lac Kariba © B. Postel[/caption]

Bienvenu à bord

Chaque jour, nous changeons de spot pour découvrir différentes facettes de cette immense réserve de vie sauvage. Matin et soir, nous partons pour un safari nautique de trois heures. Les abords du lac sont un havre de fraîcheur pour les mammifères, les crocodiles et d’innombrables oiseaux : ibis, calaos, rolliers, hérons, oies d’Égypte, cormorans, aigles pêcheurs, etc. Cette réserve d’eau permanente est un gage de survie pour les animaux. Dans le lac Kariba, il existe de nombreuses zones marécageuses où les hippopotames vivent en troupeau. La journée, ils dorment dans l’eau, ne sortant qu’au couchant pour brouter l’herbe des berges. Quand il ne fait pas trop chaud, on peut les voir déambuler mollement à proximité de leur territoire, guettés par les pique-bœufs qui les débarrassent de leurs parasites. [caption id="attachment_207402" align="aligncenter" width="500"] Deux membres d’équipage vont amarrer l’annexe de l’African Dream pour la nuit sur une berge du lac Kariba © B. Postel[/caption] Nos journées s’écoulent doucement au rythme des excursions en annexes et d’observation en 4x4 de la faune du parc de Matusadona (1 400 km²), sur la rive sud-est du lac. Les pistes sont bordées de mopanes, un arbre essentiel pour les communautés locales, utilisé dans la constru tion et la médecine traditionnelle pour lutter contre lemaux d’estomac. Des milliers de ces arbres ont été inondés par le lac. Ils se sont pétrifiés avec le temps, dessinant un tableau féerique de silhouettes fantomatiques que l’on ne se lasse pas d’admirer au coucher du soleil. [caption id="attachment_207399" align="aligncenter" width="500"] Une girafe déambule nonchalamment sur ses pattes graciles dans le parc Chobé © B. Postel[/caption] C'est l'heure où les lumières vives vont s’éteindre sous les nuées qui cavalent par-dessus les mopanes pétrifiés. À mesure que l’African Dream fend les eaux d’un bleu acier, les passagers s’imprègnent de l’ambiance onirique des lieux. Et tandis qu’au fil des minutes le ciel se teinte d’un rose vif, presque irréel, un brin de nostalgie nous envahit. Notre périple austral touche à sa fin. [caption id="attachment_207413" align="aligncenter" width="500"] À la passerelle, le capitaine Leonard Litaba orchestre avec précision les manœuvres de l’African Dream © B. Postel[/caption] Nous repartons vers Victoria Falls dans le même Cessna qui nous a conduits à Kariba, après une visite éclair de l’impressionnant barrage. D’une hauteur de 128 mètres et d’une longueur de crête de 617 m, il est parmi les plus grands au monde. Son niveau est désormais historiquement bas en raison du changement climatique et des nombreux barrages construits sur le Zambèze. L’année passée, le niveau de la retenue ne permettait plus de faire fonctionner la centrale électrique de Kariba North Bank, exploitée par la Zambie. D’où les nombreuses coupures d’électricité dans les deux pays. [caption id="attachment_207406" align="aligncenter" width="500"] On découvre le lac sous les nuées gris bleuté des averses nocturnes. © B. Postel[/caption]

Les chutes Victoria

Avant d’arriver aux chutes, on les entend gronder. C’est en 1856 que l’Écossais David Livingstone (1813-1873), les découvrit aux côtés de la tribu des Makololo. Il fut l’un des premiers à naviguer sur le Zambèze (« grand fleuve » dans la langue des Tonga), bien que sa vallée ait été découverte dix ans plus tôt par le Portugais Silva Porto (1817-1890). En bon missionnaire, l’explorateur l’appela « chemin de Dieu ». Il imaginait en faire une voie navigable, permettant de commercer et d’amener des missionnaires dans ces territoires reculés. [caption id="attachment_207405" align="aligncenter" width="500"] De vastes nuages d’embruns se forment au-dessus des chutes. © B. Postel[/caption] C’était sans compter sur les rapides, les tourbillons, et les chutes que les indigènes appelaient Mosi-oa-tunya soit « Il y a de la fumée qui fait du bruit là-bas ». Ils ne s’étaient jamais approchés de l’endroit. Mais l’intrépide Livingstone alla plus avant et découvrit la grande cataracte du Zambèze en 1856 qu’il baptisa Victoria en hommage à sa souveraine. On les visite en empruntant un chemin pédestre qui longe la faille longue de 1,8 km et haute de 108 m. L’imperméable est de rigueur tant de vastes nuages d’embruns se forment au-dessus des chutes, créant une atmosphère de brume constante. Le fleuve a sculpté des gorges volcaniques, suivant des failles créées par des mouvements tectoniques il y a plusieurs millions d’an nées. D’hélicoptère, ces merveilles naturelles nous révèlent toute la puissance de la nature. C’est un spectacle tout à fait fascinant.

Bienvenu à bord : l'African Dream

[caption id="attachment_207403" align="aligncenter" width="500"] Construit en 2018 au Zimbabwe, l’African Dream mesure 33 m de long pour seulement 0,78 m de tirant d’eau © B. Postel[/caption] Construit en 2018 au Zimbabwe, l’African Dream mesure 33 m de long pour seulement 0,78 m de tirant d’eau, accueille à son bord 16 passagers dans huit cabines spacieuses de 18 m2 avec vitres panoramiques et balcon privatif pour deux d’entre elles. Sur le pont supérieur, un restaurant et un salon panoramique permettent de profiter de la vie sauvage et de la nature environnantes. Une grande terrasse, agrémentée d’une petite piscine et un espace solarium sont situés sur le pont extérieur. Huit membres d’équipage sont aux petits soins pour les passagers. Les bateaux sont équipés de propulsions hydrojet couplées à deux moteurs Volvo de 450 ch.

Carnet de route : Lac Kariba

[caption id="attachment_207421" align="aligncenter" width="500"] Les cabines affichent une décoration sobre, chic et ethnique à la fois. © B postel[/caption] Circuit-croisière 9 jours (de port à port, hors vols internationaux). Vol Paris-Johannesburg A/R non compris sur Air France avec des vols de nuit à l’aller (10h40) comme au retour. Aucun décalage horaire à l’arrivée (1 heure en hiver). Comprend les nuits en lodge en Namibie ainsi que les vols en avions privatifs entre Johannesburg, Kasane (lodge) et Kariba (bateau). Tarifs À partir de 5 019 € en pension complète – boissons (vin, bière) aux repas et au bar et excursions incluses. Excursion facultative. Le survol en hélicoptère des chutes Victoria s’effectue en fonction des conditions météorologiques. Tarif 245 €/15 minutes. Extension de programme Possibilité de pré-programme de 4 jours dans la région du Cap : la Montagne de la Table et le Cap de Bonne Espérance ; Robben Island ; visite d’un domaine viticole et dégustation. [caption id="attachment_207417" align="aligncenter" width="500"] Retour de safari. On délaisse le 4X4 pour l’annexe. © B. Postel[/caption] Formalités Aucun visa à prévoir pour l’Afrique du Sud, la Namibie et le Botswana. Visa pour le Zimbabwe obligatoire délivré à la frontière (30 $ US). Ce dernier est à régler directement sur place lors du passage de la frontière. Passeport valide 6 mois après la date de retour du voyage (avec au moins cinq pages vierges dues aux nombreux passages de frontières entre la Namibie et le Bostwana). Pourboires Les pourboires sont destinés au personnel du bateau et du lodge (à titre indicatif, prévoir 5$/jour/passager). Autres pourboires inclus dans le tarif. Précautions sanitaires Ce circuit-croisière n’est pas conseillé aux personnes à mobilité réduite. Pas de vaccin obligatoire. Traitement antipaludéen conseillé. En dessous de 7 ans, les enfants ne sont pas admis pour des raisons de sécurité. Climat Meilleure saison pour s’y rendre : de mars à janvier. Le Botswana, le Zimbabwe et la Namibie ont un climat subtropical semi-aride avec une température de 20 à 28°C. Il y a deux saisons : l’été de novembre à mars et l’hiver d’avril à octobre où les nuits peuvent être fraîches. Pluies fréquentes en février.

Retour au sommaire

D'autres navigations de par le monde avec yacht By Neptune

Comments

Комментарии для сайта Cackle
Загрузка...

More news:

Read on Sportsweek.org:

Arcachon Belle Plaisance
Dart 18
Association Voile Carry-le-Rouet
Yacht club de Dinard

Autres sports

Sponsored