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Vendée Globe 2024 : l’attente monte pour Sam Goodchild et Thomas Ruyant

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À quelques semaines du départ du 10ème Vendée Globe, l'excitation monte aux Sables d'Olonne. Le jeudi 17 octobre, les IMOCA VULNERABLE de Sam Goodchild et Thomas Ruyant sont venus s'amarrer à Port Olonna, en rejoignant une trentaine d'autres bateaux prêts à prendre part à cette course légendaire autour du monde en solitaire. Pour ces deux skippers de l’écurie TR Racing, la phase d'attente et de préparation ultime débute, un moment charnière avant le coup de canon du 10 novembre.  Pour Sam Goodchild, ce premier Vendée Globe est un aboutissement. Le Britannique, passionné et engagé, a travaillé dur pour arriver jusqu’à ce moment tant attendu. « 16 ans que je rêve de ce moment », confie-t-il avec émotion. [caption id="attachment_189422" align="aligncenter" width="333"] Crédit Pierre Bouras[/caption] Cette première remontée du chenal des Sables en compagnie de son équipe technique marque le début de la phase cruciale de son projet : « On entre dans la phase active, cruciale du projet. Ces trois prochaines semaines seront à la fois longues et très courtes, tant les agendas sont déjà bien remplis ». Entre les ultimes ajustements techniques avec ses équipiers, les moments avec la famille, les amis, et les sollicitations du public, Sam sait que le temps va filer à toute allure. Son bateau est optimisé au maximum, et il se sent prêt à relever le défi, mais la gestion des émotions sera clé dans les jours à venir. « Cette course est à nulle autre pareille. L’engouement est palpable. Ça y est ! On est dans le concret ! » s’enthousiasme-t-il, tout en sachant que la sérénité et le repos seront essentiels pour aborder cette grande aventure.

Thomas Ruyant : l’expérience d’un vétéran

Pour Thomas Ruyant, ce Vendée Globe n’est pas une première. Avec deux éditions à son actif, il aborde cette période d'attente avec une certaine distance, mais aussi beaucoup d’expérience. « Pas d’émotion particulière aujourd’hui, car la remontée du chenal qui m’importe est celle que je compte bien effectuer après avoir bouclé le tour », confie-t-il, déjà tourné vers l’objectif final. Thomas sait que la pression va monter au fur et à mesure que le départ approche, mais il est prêt à la gérer. [caption id="attachment_189420" align="aligncenter" width="333"] Crédit Pierre Bouras[/caption] Fort de ses participations en 2016 et 2020, Thomas reconnaît que cette édition sera marquée par une ambiance bien différente de celle vécue en 2020, sous le spectre du COVID : « Privé de départ pour cause de Covid il y a quatre ans, le public va répondre en masse cette année, et l’émotion du départ s’annonce colossale, difficile à gérer, et énergivore ». Pour gérer cette montée en intensité, Thomas prévoit de se couper du tumulte des foules en passant une semaine en famille loin de l’effervescence des pontons, avant de revenir le 4 novembre pour les derniers préparatifs.

Derniers ajustements avant le grand départ

Le mois qui précède le départ est un temps précieux pour les skippers. Pour Sam Goodchild et Thomas Ruyant, il s'agit de peaufiner les derniers détails techniques et logistiques. Thomas, confiant en son équipe, laisse son IMOCA VULNERABLE entre les mains de son boat captain, Ronan Deshayes : « J’ai une super équipe qui va continuer de peaufiner le bon travail déjà effectué. Je n’ai jamais été si bien préparé », assure-t-il. [caption id="attachment_189425" align="aligncenter" width="500"] Crédit Pierre Bouras[/caption] L’enjeu pour ces deux navigateurs est de trouver le juste équilibre entre la préparation technique et la gestion de l’énergie physique et mentale avant de se lancer dans une aventure de plus de deux mois autour du globe.

VULNERABLE : une campagne qui fait sens

Le projet VULNERABLE, soutenu par Advens, le spécialiste de la cybersécurité, met la vulnérabilité au cœur de son message. Cette campagne se veut un rappel que la vulnérabilité, qu’elle soit humaine ou technique, peut être transformée en force. « Faire de la vulnérabilité une force pour la cyber, les Hommes et la planète », tel est le credo d’Advens, qui, en tant que partenaire technologique de TR Racing, apporte son expertise en cybersécurité et data performance. Advens a également développé un stand immersif au cœur du village du Vendée Globe, où les visiteurs pourront en apprendre plus sur cette campagne unique, tout en suivant le parcours de Sam et Thomas lors de cette course mythique.

Le Vendée Globe 2024 : un défi de taille

Le Vendée Globe 2024 promet d’être une édition exceptionnelle, avec plus de trente skippers prêts à affronter les 24 296 milles de cette course en solitaire autour du monde. Pour Sam Goodchild et Thomas Ruyant, ce défi sera à la fois physique, mental et technique. Alors que la date fatidique du 10 novembre approche, les deux hommes se préparent à plonger dans l’inconnu avec pour seul objectif : boucler cette grande boucle et, peut-être, s’imposer parmi les meilleurs de cette compétition hors normes.
Source communiqué de presse

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