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Quand l’IA simule le Mondial 2026 : le Portugal champion, la France en retrait

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À peine le tirage au sort du Mondial 2026 effectué que les premières projections affluent. Parmi elles, celle du SuperComputer développé par JeffBet.net, qui s’impose comme l’un des outils statistiques les plus consultés outre-Manche. Alimenté par la forme du moment, les forces collectives et les probabilités issues des marchés de paris, ce modèle a simulé le tournoi 10 000 fois pour dégager un scénario « le plus probable ». Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne laisse pas beaucoup de place au rêve du côté des Bleus.

Le verdict impitoyable du super ordinateur pour les Bleus

Selon cette simulation, la France atteindrait bien le dernier carré… avant de voir son parcours s’arrêter net. Les Bleus seraient battus en demi-finale par l’Espagne, sur un court revers (1-0), au terme d’un match cadenassé. Un scénario d’autant plus frustrant que l’équipe de Didier Deschamps — ou de son successeur — aurait jusque-là réalisé un parcours solide, dominant l’Allemagne dès les huitièmes puis les Pays-Bas en quart de finale. Le SuperComputer pousse même le cynisme plus loin : la France perdrait également la petite finale face à l’Angleterre, aux tirs au but.

Au sommet du tableau, la projection offre une histoire toute écrite : le Portugal remporterait la Coupe du monde, porté par un Cristiano Ronaldo encore décisif et vainqueur en finale face à l’Espagne (2-1). Le modèle prédit même un exploit majeur : une victoire 3-2 des Portugais contre l’Argentine en quart de finale, Ronaldo prenant une nouvelle fois le dessus sur Messi. De quoi nourrir le fantasme d’un dernier chef-d’œuvre pour le quintuple Ballon d’Or.

Des surprises majeures : l’Australie en quart, l’Afrique au rendez-vous

Au-delà des cadors, la simulation réserve des séquences étonnantes. L’Australie atteindrait les quarts, l’Afrique placerait l’Afrique du Sud et la Côte d’Ivoire en huitièmes, et l’Écosse se hisserait jusqu’en huitième également. Un tableau global qui confirme l’équilibre croissant entre continents et l’imprévisibilité d’un tournoi à 48 équipes.

Si ce scénario offre un aperçu de ce que le Mondial pourrait devenir, il reste une projection statistique, loin de la vérité du terrain. Les Bleus disposent d’un réservoir unique, de talents émergents, et d’une capacité historique à déjouer les probabilités. Mais cette simulation rappelle une certitude : le Mondial 2026 sera d’une densité rare. Et si la France veut éviter ce destin frustrant, elle devra se montrer irréprochable dès le premier tour.

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